Train-train quotidien

Il est 17 heures trente-deux, dans le wagon 6 de la ligne 12844 de la Massachusetts Bay Transportation Authority. Vous êtes tous les cinq dans un wagon inconfortable et rentrez à Boston, vos raisons de voyages aussi diverses que personnelles vous ont poussé a tous vous retrouver ici. Certain dorment, d'autres jaugent les autres, lisent ou s'adonnent à d'autres activités propres à chacun. Le voyage est morne à mourir mais le paysage que vous donne la vue fugace sur la baie est sympathique. Le train est calme a en mourir. C'est à croire qu'il n'y a plus âme qui vive dans ce wagon. Il vous reste moins de vingt minutes avant d'arriver à destination: South Station. Terminus. Soudain, des pas pressés résonnent dans le wagon, une porte claque un homme accourt, il trébuche et s'affale de tout son long devant la porte de votre wagon. Il semble terrorrisé, mais vous ne savez pas par quoi, il se relève, il est blessé, il a visiblement été frappé à la tête, comme en témoigne le sang coulant en un filet le long de son crâne. Et il est en sueurs, mi-sueur froide d'une peur atroce et indicible, mi-sueur de la course effrenée qu'il vient de mener. Il se relève, se rue dans le wagon. Il sort un objet de sa veste et le jette sur le sol du compartiment puis, comme sentant une présence il lève son visage vers vous, un homme d'une quarantaine d'année, rondouillard, et bien habillé, mais qui semble, d'après l'état de son pantalon, avoir très très peur. Il n'a que quelques mots qui s'échappent de sa bouche avant de repartir aussi sec en courant dans le wagon, comme si la chose qui le poursuivait venait de le retrouver, mais avant qu'il reparte vous avez le temps d'entendre ce qu'il vous dit:

"Liseron...William Liseron! BPD, brigade criminelle....j'vous en prie..."

Puis il repart aussi vite qu'il était arrivé, courant dans le train en paniquant et trébuchant sur tout les objets encombrant le couloir du wagon...Quand vous baissez les yeux vous voyez l'objet qu'il a déposé, une lettre fermée, tachée de sang, le sien apparement, et qui commence a coaguler sur la petite enveloppe blanche...

Jewel passe sagement son temps, assise près d'une fenêtre, à tripatouiller son ordinateur portable. Elle a visiblement regardé toutes les vidéos et écouter tous les morceaux stockés en mémoire, vu son regard morne, ses paupières tombantes et la façon dont elle se tient sur son siège, la tête entre les mains...

Et voilà qu'on vient interrompre un nouveau baîllement, un type à l'allure ridicule qui vient s'écrouler entre les sièges des... cinq passagers... Jewel pouffe de rire devant cette scène, mais s'arrête aussitôt qu'elle remarque le sang sur le visage de l'inconnu.

Elle a à peine le temps de se pencher vers lui pour connaître son état, lui proposer de l'aide, qu'il jete un truc sur le sol, bafouille quelque chose - un flic ! bouh ! - puis disparaît dans le wagon suivant. Il ne veut pas se jeter du train en marche quand même ? Ou alors, il est poursuivi par un criminel ? Il en poursuit un ? La jeune femme arrête d'émettre des hypothèses en apercevant l'enveloppe tâchée de sang qui gît sur le sol... Pourquoi ce type a-t-il balancé ça ici ? Le cerveau de l'étudiante en informatique frétille, bloquant ses capacités cognitives et ne laissant la place qu'à une seule idée dans sa tête : ouvrir l'enveloppe.

Jewel, toujours penchée, attrape le papier - bêrk, du sang ! - et sors un crayon d'une poche de son sac à dos pour déchirer l'enveloppe avec : une vieille habitude, la peur de se charcuter les doigts si quelqu'un a planqué une lame de rasoir dans l'enveloppe... elle regarde sans doute trop la télévision et les émissions " bizarres "...

Par contre, une fois l'enveloppe ouverte, elle se demande pourquoi elle a déchiré le papier au lieu de courir après le policier pour lui rendre son enveloppe... Peut-être à cause de sa curiosité ou parce que cela lui a semblé logique, après tout, il ne l'a pas laissée tomber, il l'a jetée... Jewel s'éclaircit la voix puis entreprend de vider le contenu de la lettre sur la tablette devant elle pour l'examiner, espérant fébrilement trouver... quelque chose.

Assit à côté de la porte du wagon, Anthéus encercle ses bras autour de ses genoux et se balance d'avant en arrière.Il observe, comme à son habitude, les gens qui sont présents. Après avoir passé en revue les deux premier, il fixa son regard sur la jeune demoiselle qu'il aperçoit de dos.

"Anthéus aussi voudrais un ordinateur comme ça!! mais son méchant papa et sa méchante maman qui le frappe tous le temps de voudron jamais lui en offrir un. Pas vrais Djull!!"

dit-il au rat perché sur son épaule.
Soudain un homme tomba à coté de lui. Il le regarda attentivement mais ne daigna pas l'aider.

"Jamais le gros monsieur aurait aider Anthéus si il était tombé parceque les gens n'aime pas Anthéus." Puis il regarda sa montre (celle qu'il avait voler dans un marché):

"Zut c'est l'heure de la piqure d'Anthéus."

"Les gens aime pas les piqure mais Anthéus ça le gène pas".

Il pris alors son nécessaire pour diabétique et prépara son injection.Quand il eut fini, l'homme était repartit sans qu'Anthéus n'entende ses gémissement. Il recommenca alors à observer la jeune fille qui ouvrait une envelope. Il se pencha alors pour mieux voir son contenu.

(edit: évitez le rouge et le orange svp, c'est dur a lire)

Hypérion est assis au milieu du wagon, les jambes croisées, son livre de littérature ancienne a la main. Son regard est fixe et sombre, il est bien habillé et à l'air profondément absent, perdu entre deux extrémités, à tel point, qu'il n'avait même pas remarqué, la présence d'autres personnes et l'entrée de cet homme...

Quand celui-ci parle, Hypérion sort soudain de son coma ! Aperçois l'enveloppe, mais voyant les blessures de ce policier décide immédiatement de lui porter secours. Mais celui file a toute vitesse, Hypérion conait la médecine et sait qu'une blessure à la tête n'est jamais bon signe, il aimerai l'examiner il est en plus très intrigué par son comportement, il ne peut pas le laisser dans cet état, il lui court donc après dans les wagons...

Hypérion s'inquiète en poursuivant le policier… Il est blessé semble poursuivi, désespéré, et terrifié dans le train, ce qui ne lui offre aucune porte de sortie. Il commence aussi à se demander sur quoi il risque de tomber ? Mais ne peut laisser cet homme seul après ce qui vient de ce passer il doit lui venir en aide et comprendre....(il se sent de plus en plus étrange un souvenir familier et sombre commence a l'habiter)

(Il me faut ma fiche de personnage!!!!! en attendant j'ai trouver un nom de remplacement...)

Assis sur son siège, penché en avant les coudes sur les genoux il fixait du regard le sol perdu dans ses pensé. Ses longs doigts égrainants machinalement les perles de son vieux chapelet dont l'éfigie du crusifix avait disparu. Ses pensées ce perdaient toutes dans les brumes de son esprit... Il repensait à sa soeur Lisbeth, a plusieurs reprises il croyait avoir trouvé la solution pour la sortir de son état, mais rien. La médecine ne pouvait rien pour elle mais il savait qu'il existait une solution, il ce le devait. La culpabilitée était trop forte, elle avait ruinée et transformé sa vie en une longue errance douloureuse...

L'irruption d'un homme dans le wagon le sortit de ses songes, il jeta un coup d'oeil vers l'homme étalé sur le sol. Son état lui rappelait les réactions de certaines personnes face a une prise trop importante de produit "soit-disant" illicite. Cela lui rapellait également ses longues nuits d'angoisses lorsque qu'il avait lui même décidé de ce sevré des drogues dures. Il s'en était bien tiré et peu de gens pouvait reconnaitre qu'ils avaient devant eux un ex-drogué. En revanche ses penchants pour les bar a opium et l'absinthe verte lui était resté, comme une vieille habitude... En regardant plus attentivement il vit que du sang s'écoulait le long de son crâne.

Que faire allé l'aidé ? mmh non! Il avait déja trop a faire avec sa propre existence, de plus une fille semblait lui proposé son aide. L'homme ne lui prêta pas attention et repartit en courant comme si il avait le diable au trousse. Un homme qui possédait un livre de litérature ancienne partit a sa poursuite dans les méandres des wagons.

La jeune fille resta seule au milieu de la cabine, elle ramassa une envelope. Le sang qui la recouvrait lui fit pensé qu'elle apartenait a l'homme. Il observa attentivement les moindres faits et gestes de la jeune femme. Elle ce saisit d'un crayon , ouvrit la lettre. Il l'observa comme si la curiosité qu'elle avait fait preuve a l'égare de cette envelope était communicative , lui qui d'habitude ne ressentait aucune curiosité ne pu s'empeché de tendre le coup pour voir ce que contenait cette fameuse lettre...

@Tanathos:

Tu t'engouffres dans le couloir et voix l'homme tourner a un angle, courant de toutes tes forces tu le rattrappes peut à peut, mais il a quand même un demi wagon d'avance et la peur semble lui donner des ailes. La course n'étant pas ton fort (0 en sport), tu ne le rattrappes pas, mais soudain un hurlement gigantesque retenti dans le wagon, comme si il allait mourir. tirant dans tes dernières ressources tu ne peut qu'entendre l'homme pousser un:

"NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON"

Atroce avant d'entendre une fenêtre éclater et un bruit sourd comme celui d'un corps heurtant a grande vitesse un des pyl^$ones bordant la voie. quand tu arrives enfin au niveau de l'angle de couloir où l'homme avait disparu de ta vue, tu voix une fenêtre éclaté, avec du sang et des bouts de tissus identiques à ceux que portainet l'homme qui ornent les débris de verres. Etrangement, quand tu regarde le sol, les débris de verre ne sont pas dérangés, comme si personne ne l'avait poussé. A côté de toi, les gens sortent des cabines et semblent effrayés, en écoutant ce qu'il se dit, tu entends qu'il s'est jeté par la fenêtre, mais comme un fou, en hurlant dans le vide qu'on le lache, suppliant de le laisser en vie...

@Valerian, Rom's,Nounours et Cailloux:

(Valer', on considère que tu es resté a lire la lettre comme t'as pas posté)

Peu préoccupé par le sort de l'homme poursuivi, vous choisissez de vous inquieter à la lettre. La plus rapide de tou ayant été la jeune étudiante, vous la voyez faire habilement un sort à l'enveloppe tâchée. Une fois le paquet ouvert, une lettre tombe sur la tablette avec un "plof" du à la dose de sang qui l'imbibe. La dépliant avec habileté, vous arrivez tous à en lire le contenu, que ce soit à l'envers ou a l'endroit. Malheureusement le sang en a déja recouvert une bonne partie la rendant invisible. Voilà ce qu'elle contient:

Pour: Phil Murray
17 Downing Street, Philadelphie.

De: William Liseron,
Commissariat du troisième district.
Boston.

Cher monsieur,
Comme je vous l'ai déja dit au telephone, votre histoire me parait étrange et c'est pour ça que j'ai accepté de
*grande partie tâchée et illisible*
Aussi je vous remercie de m'accorder votre temps et sais que vous serez interréssé par mon aide comme vous l'êtes par la mienne. Même si votre histoire parait
*Illisible*
Donc comme convenu, je viendrai vous récuperer à Boston le 20 octobre, je vous attendrais a la gare de South Station. J'attendrais le train de 18h00.

Cordialement
Inspecteur William Liseron.
PS: Vous aurez le plaisir de faire la connaissance de ma fille si vous dormez chez moi.
PS2: Veuillez conserver cette enveloppe pour me prouver que vous êtes bien celu iavec qui je correspond. "Ils" sont peut-être partout...

" Bêrk, bêrk, bêrk ! "

Furent le seuls mots qui sortirent de la bouche de Jewel quand elle saisit avec mille précautions le bout de papier plié et souillé d'hémoglobine qui tomba devant elle. On avait pas idée de laisser son sang sur du courrier, c'était vraiment pas hygiénique. Et ça laissait des tâches sur la tablette du wagon, heureusement que rien n'avait sali le précieux ordinateur de la jeune femme...

Mais puisqu'elle avait déchiré l'enveloppe, autant aller jusqu'au bout et lire la lettre. Ce qui fit Jewel, plaçant le bout de ses doigts à des endroits encore propres. Bon, et bien, il y avait un gars qui attendait l'autre type à la gare... Se sentant alors coupale de ne pas avoir couru à la rescousse de l'inconnu, l'étudiante se dit qu'il serait de bon ton de prévenir ce William Liseron que son ami... Phil Murray apparament... ne pourrait pas le rejoindre ce soir ou quelque chose comme ça. Et peut-être aussi lui demander ce qui pouvait bien se cacher sour le fluide vital de Mr. Murray. Enfin, peut-être pas, il faudrait voir les circonstances...

Se retournant, Mademoiselle Krinkle remarqua qu'on lisait par-dessus son épaule et elle en ouvrit des yeux ronds de surprise. C'est vrai qu'on devait la prendre pour un monstre d'avoir laissé tomber cet homme pour lui lire son courrier... Il fallait immédiatement rattraper le coup.

" Euh... Je crois que je préviendrai ce Mr. Liseron que son ami ne pourra pas... peut-être pas... qu'il a sans doute... enfin, j'irai voir ce William et je lui dirai ce qui s'est passé ! "

Elle secoua un peu la lettre pour l'égoutter puis la déposa à côté d'elle pour qu'elle sèche. Elle décida de ranger son ordinateur portable dans son sac et regarda sa montre, le train devrait bientôt arriver... et les autres personnes dans le wagon arrêteraient peut-être de la fixer...

Surpris de ce qu'y semble c'étre passer et terriblement secouer... je décide ne en moin de retouner a mon wagon, cet lettre que cet homme a jeter, pourra peut étre indiquer les raisons de son geste. En arrivant je voit la lettre ensanglanter a coter de la fille et je lui demande si elle a en a consulter le contenu??? Ainsi que si quelqu'un le connaissait??Je leur annonce enfin que les circonstances de la mort de cet homme et prend connaissance de la lettre, j'essai de me mettre d'accord avec les autres sur les choses suivre... les autres personnes du train vont surment prévenir les autorités ,et cet lettre est un pièce a conviction... Mais cet homme William Liseron mérite de savoir ce qu'il c'est passer...

" Wowowôw ! Minute ! "

Jewel récupéra la lettre des mains du type qui avait coursé Phil Murray et la plaça, à présent qu'elle était sèche, dans le fond d'une de ses poches. Comme ça en plus d'être bien à l'abri, s'il restait un peu de sang humide, les tâches ne se verraient pas... ou très peu...

La jeune femme avait réfléchi à la mort apparement bizarre de Phil et, prise de remords, tenait absolument à informer Mr. Liseron de la mort de son ami, or, pour qu'il la croie, elle devait lui présenter la missive fourrée dans sa poche, c''était lui-même qui disait dans sa lettre que la lui présenter serait une preuve de la bonne foi de son interlocuteur...

" Je pense qu'il vaut mieux que JE la garde le temps de prévenir ce William Liseron ! En plus, il est lui-même flic, on pourra faire d'une pierre deux coups : l'informer de la... mort de son ami et lui remettre le papelard pour qu'il le mette dans un petit sac en plastique et marque dessus " Evidence n°1 ", comme à la télé tout ça... et après on rentrera chez nous et ça nous fera un truc à raconter à la famille, c'est pas super ça ? Ah, et moi c'est Jewel... "

Lança-t-elle à la fin de sa tirade... elle ne se sentait pas à l'aise du tout entre ces quatres types, même si le débi... déificent mental ne lui semblait pas vraiment menaçant. Mais de toute façon, elle avait horreur d'être la seule fille au milieu d'une bande de gars... ça lui fichait toujours des frissons.

Le contenu de la lettre était des plus troublants... Du sang, un "ils" indéterminé qui laissait présagé une menace plus un homme poursuivit par son hombre... Tout les éléments d'un bon polar. Toujours assis à sa place il observait toujours la jeune femme, élève en fac de socio il adorait tout particulièrement étudié les comportements des hommes face a un évènement inatendu. Elle ne put s'empeché d'excusé sa curiosité, mais quoi de plus normal pour un être humain d'être curieux. L'homme qui avait couru après le flic revint dans le wagon, il avait l'air préssé et posa quelques questions. Sans attendre de réponse il ce saisit de la lettre pour la lire. "waaawww" pensa t'il "celui la il carbure à la nitro, il venait de poursuivre un mecs qui c'était défenestré et ne paressait pas choqué..."
La jeune femme eut la bonne conscience de lui reprendre la lettre. Il ne savait pas si l'empressement de cet homme était du a l'état de choc, ou peut etre etait ce chez une lui une réaction normal face a une jeune femme. Reprenant les choses en mains elle mit les affaires au claire. La perspective de devoir suivre le groupe ne l'enchantait guère et il aurait préféré rentré chez lui mais l'envie d'en savoir un peu plus lui titillait les entrailles. C'était la deuxieme fois en peu de temps qu'il ce reconnaissait un penchant pour la curiositée, et la chose le mis mal à l'aise. Comme la seul fille avait bien résumé la situation il ne trouva rien d'autre à ajouté, et tout en observant les deux protagonistes qui s'offraient en spectacle au milieu du wagon, il ce remit à égrainer son chapelet...

C'était la première foie que quelqu'un s'adressait à Anthéus sans l'insulter ou le rouer de coups. Cela le toucha beaucoup, surtout venant d'une fille. Ce sentant un peu honteux de son comportement de tout à l'heure "Mais s'était justifié!!", il pensa pouvoir les accompagner, mais surtout la fille car c'était la seul qui lui avait montré un semblant d'attention et pour la première foie de sa vie il sourit. Rassemblant tout le courage qu'il possèdait il s'avanca et dit timidement au autres (mes en regardant Jewel): "Mmm...moi j...je m'appelle Anthéus et elle c'est Djull!!" en montrant son rat. "Djull et Ant.. euh moi on va venir avec vous parce que nous aussi on aurait put aider le gros messieur mais on la pas fait." Rajouta-t'il sans pourtant éprouver de regret.

....Visiblement je n'ai pas d'autre choix pensait Hypérion, mais elle a l'air sincère il décida donc d'accepter sa fasson de faire... l'étrange garçon qui se leva pour ce présenter fit une drole d'impression a Hypérion, surtout avec ce rat sur l'épaule...il semblait éprouvrer mais pas a cause de ce qui venait de se passer, son intonnation montrait que cela ne l'affectait pas... quelle étrange sensation????

Bien je suis d'accord nous feront donc ainsi... Je me nomme Hypérion, enchanter de vous connaitre! Malgrer....ces ,circonstances...

Puis Hypérion se tourna vers l'homme encore assi et s'exprima:

Pardonner moi, mais vous etes aussi un témoin, nous accompagneriez-vous????

Surpris qu'on lui adresse la parole, il releva la tête et dans un effort de ce montré amicale presque sincère il répondit:

"Moi... Je pense que je n'est pas le choix cet homme c'est défenestré quand même"

Tout en lui parlant une curieuse idée lui vint a l'esprit et il ne pu s'empêché d'ajouté:

"Au faite, j'y pense, j'espere pour vous qu'il y'avait des témoins lorsqu'il c'est défenestré... Moi la seule chose que j'ai vu c'est un homme entré dans ce wagon, deux en sont ressortit mais un seul est revenu...."

Tout en disant cela il ne pouvait s'empêché d'arboré une certaine fierté. pourtant si ces dire étaient vrai il aurait du soucis a ce faire car dans ce cas ils auraient a faire a un meurtrié et non un témoin... Sa nervosité pouvait ce percevoire, non seulement grace au chapelet qu'il agitait toujours aux bouts de ses doigts, mais aussi parce qu'il venait de remplir le plafond du wagon en étendant ses 1m87. Ce n'est qu'une fois fini sa phrase qu'il constata qu'il était debout, ce geste machinale trahisait une certaine pulsion qui le poussait à ce rapproché de ce groupe qui lui paraissait plutôt marginale.

Jewel était de moins en moins à l'aise en présence de ces messieurs, à dire vrai, la mort d'un homme un ou deux wagons plus loin n'était pas un élément pour l'aider à penser positivement... Si en plus ce même homme avait jeté à ses pieds une enveloppe tâchée de son propre sang et qu'au lieu d'aider cet inconnu qui ne l'était plus, elle avait ramassé la lettre et l'avait lue... elle se sentait effroyablement coupable, peut-être après tout aurait-elle pu empêcher cette mort bizarre ? Elle n'eut pas vraiment l'occasion de s'en vouloir beaucoup plus, le débi... déficient mental, venait de se présenter ainsi que son... son... son rat ! Jewel avait horreur des rats ! Moins que sa chère mère mais elle avait quand même tendance à grimper sur une chaise pas loin de sa maman quand un rongeur pénétrait dans l'enceinte de la maison, c'était tout de même plus rassurant... et son père qui ne manquait pas une occasion de traumatiser les deux femmes qui vivaient sous son toit - Mademoiselle Krinkle avait un peu de mal à se séparer de sa vieille chambre - en parlant de tortures à base de rats, de maladies transmises par les rats, de... et de... La jeune femme aux bleus cheveux en frissonnait. Elle se disait toujours pour se rassurer qu'au moins, elle n'avait pas peur des araignées... Polie cependant, elle fit un sourire un peu crispé à l'adresse du dénommé Anthéus et de son petit animal, suivit d'un signe de la main pour le... les saluer.

C'est alors qu'elle se dit, entendant des bribes de la conversation qui se déroulait à côté d'elle, qu'elle devait peut-être intervenir pour calmer les choses... toujours à chercher la provocation ces mâles...

Bondissant presque de son siège, elle vint se placer entre le grand type et le plus petit, prenant une mine sévère.

" Arrêtez ! Je crois qu'on a eu notre dose d'émotions pour ce soir, pas besoin de lancer des accusations aussi stupides ! Ce monsieur Dit-elle en désignant Hypérion a passé tout le voyage dans le même wagon que nous, je doute qu'il connaissait Mr. Murray lorsqu'il est passé près de nous... qui plus est, nous n'avons vu personne poursuivre cet homme en dehors de... euh... Hypérion ! Excusez-moi... Et lui au moins a essayé d'arrêter ce Phil Murray au lieu de rester assis à ne rien faire comme nous ! Bon, moi je suis d'avis que nous devrions tous, et je dis bien TOUS ! Rester ensemble et rencontrer Mr. Liseron pour lui raconter ce qui s'est déroulé, et surtout nous excuser de n'avoir rien fait pour venir en aide à son ami ! Merde, ce type est mort et nous n'avons pas levé le petit doigt pour l'aider quand il est venu près de nous ! Bon Dieu, il... il saignait... "

Commençant à ressentir le choc des évènements une fois l'adrénaline descendue, Jewel respirait vite, nerveusement, et ses yeux brillaient de larmes naissantes. Elle s'en voulait, elle s'en voudrait sûrement pendant des semaines, des mois... des années peut-être... elle avait le sentiment d'avoir la mort d'un homme sur la conscience ! Et cet homme avait un nom et un prénom, un ami qui l'attendait, qui voulait lui présenter sa fille... l'étudiante en informatique avait l'impression d'être un monstre.

Hypérion pris très mal la réfléxion de cet homme qui n'avait même pas prit la peine de ce présenter...et lui répliqua d'un regard sombre:

Je n'était pas le premier sur les lieu, je n'ai même pas assister a la scène a vrai dire, je suis arriver en retard; d'autre personne était la avant moi et pourron témoignier... Mais moi au moin j'ai quand même tenter d'intervenir!! A ce que je voit vous n'aviez pas prit pas peine de vous levez!! Cela vous rend il totalement indiférent???

Hipérion en entendant Jewel sen voulu de sa réaction agressive et se calma...il avait oublier sa politesse et se santait géner...(l'ombre en lui s'appaisait progressivement)

Oui pardonnez moi vous avez raison, nous devons nous détendre et nous consentrer... cepandant inutil de sans vouloir.... la mort de cet homme reste des plus étrange,et nous ne pouvont imaginer aucune conclusion sans avoir d'abord rencontrer Mr. Liseron, le train arrive en gare nous seront bientot fixer........

En entendant le ton monter, Anthèus fut pris d'une légère panique. Cela lui rappeler les nomdreuses dispute entre ses parents qui se terminaient toujours par la même conclusion: c'est la faute du petit!! Il finissait donc à chaque fois dans ça chambre avec une certaine quantité de bleus à rajouter à sa collection. Il se rassit alors et reprennant son balancement il posa ses mains sur ses oreils "Aréter il faut pas crier!!". Aprés que la tension fut descendu il retirat ses mains et se mis à jouer avec son rat tout en ce grattant le bras gauche avec incistance (sans pour autant se rendre compte de son geste). C'est l'un des nombreux tic qu'il avait attrapé durant son enfance lorsqu'il sortait d'un état de panique plus ou moins avancé.

Face aux réactions qu'avait causé son intervention une petite voix a l'intérieure de lui ne put s'empêché de s'esclaffé de rire, mais son self-control et sa plassitude habituelle prirent le dessus avant que cela ne ce voit. Joué avec les nerfs des gens étaient un plaisir imodéré chez lui, les énervé, les pousser a bout. Les gens possédait tous un moyen diférent de péter un cable, cela pouvait allé parfoit jusqu'au coup mais généralement il s'arretait juste avant. Voyant que la situation s'échauffait vite il n'en ajouta pas d'avantage, mais quant il entendit qu'on lui repprochait de ne pas s'être levé il rétorqua :

"- Chacun ses poblèmes, si il avait besoin d'aide il aurait du la demandé, nous sommes 4 ( Son regard fit le tour de l'assemblé et vint a ce posé sur le jeune garcon au rat qui se balançait d'avant en arrière...)... Bon ok 3,5 civil j'ai du mal a croire qu'il ce serait fait tué si il était resté avec nous, mais avez vous seulement vus un poursuivant ?. Chez certaines personnes les drogues provoquent un comportement d'auto destruction, qui engendre toutes sortes de mutilation voire suicide..."

Dans ces derniers mots il ne put s'empêcher de contenir ses émotions si bien que sa phrase avait prit un ton sec et dure qui puait le vécu. Il reprit sa position et reprit son geste avec son chapelets, ce geste devenu habitude, presque un tic, le décontractait et l'aidait a réfléchir. Depuis le temps il connaissait chaques billes de boit, l'une était fendue, l'autre n'était pas tout a fait ronde, si bien qu'il pouvait savoir qu'elle bille du chapelet il touchait sans la voire. La tension étant retombé d'un cran, il jeta un regard morne par la fenêtre. "Voila une journée qui était vraiment pourrit jusqu'au bout" pensa-t-il, il n'était pas encor rentré chez lui...

N'étant pas vraimant d'acords avec le garcon au chapelet, anthéus murmurat: "C'était pas de la drogue, Anthéus à encore sentit les présence. Mais si Athéus le leur dit, il le prendront encor plus pour un fou! Parceque Anthéus il est pas aveugle et il sait se que les autres pense de lui!"

Jewel n'en revenait pas, ce type au chapelet était tout simplement monstrueux ! Certes, elle n'avait strictement rien fait pour aider l'homme dont le corps devait être, brisé, quelques part sur la voie ferrée, mais elle au moins regrettait de ne pas avoir agi, elle était prise de remords qui ne la laisseraient sûrement pas dormir ce soir !

Prise donc entre un être qu'elle considérait comme abominable, un attardé et son rat et deux autres inconnus de sexe masculin, elle alla se rasseoir, mais pas sur son siège : dans le fond du wagon, seule, pour être tranquille à méditer sur ce qu'elle pourrait bien dire à William Liseron... la vérité serait le plus dur mais c'était ce qu'elle voulait dire... Phil Murray avait besoin d'aide, elle n'avait rien fait et il était mort... Jewel se recroquevilla sur son siège, son sac serré contre elle, et soupira. Elle essuya ses yeux et se retint de pleurer, elle ne voulait pas arriver dans un état lamentable pour annoncer la mort de quelqu'un. Et elle n'osait pas non plus se laisser aller devant ces étranges personnes...

Ayant suivit du couloir l'arrivée de cet étrange individu, son interuption dans le compartiment qui lui faisait face puis sa course folle jusqu'aux fond du wagon, Daniel décida d'entrée dans ce fameux compartiment afin de savoir ce k'il s'était passé.
En entrant sur les lieux, il aperçu une jeune fille visiblement mal a l'aise assise a coté de 3 hommes dont un garçon un peu attadé, son regard s'arrèta sur non pas sur celui-ci mais sur le rat qui se tenait sur son épaule, en effet, il est très attiré par les animaux et en particulier sur ces petites bêtes qui font la terreur de bien des gens
S'approchant du garçon il lui demanda en se penchant vers lui :

C'est un brave compagnon ke tu a là, comment s'appelle t il?

Ne s'étant pas présenté, il se releva précipitement et décara aux reste des voyageur :

Quel idiot je fais, je ne me suis même pas présenté, je m'apelle Daniel Dubois, je suis vendeur en animalerie et ma curiositée ma conduit a savoir ce k'il était arrivé a ce brave homme qui est passé en courent d'air par ici. Il avait l'air étrangement paniqué

(vu ke la scène se déroulait a 4 ds le compartiment, g changé la place de départ de mon personnage, c'est pas grave?)
(a oui et dsl pour le retar mais cela fait 2 semaine qu je n'étais pas rentré chez moi ^^)

(erf, c'est pas grave, on va partir du fait que tu étais allé au toilettes quand l'homme est arrivé dans le wagon, que tu es revenu juste au moment de le voir. Parce que on part du fait que tu y étais, ça fait zarbi sinon.)

Alors que vous discuté, vous ne vous rendez pas compte que le décor visible par les fenêtres du train change. Pourtant, c'est bien ce qu'il arrive. Le ciel s'assombrit, l'air se vicie, et l'environnement sonore devient oppressanty, lugubre et animé à la fois. C'est un fait, vous entrez en gare. Mais, contrairement à toute attente, quand vous arrivez à quai, les portes des autres wagon semblent s'ouvrir car vous pouvez voir que les autres voyageurs descendent. Mais du wagon qui précède le votre, à celui où c'est terminé la course de monsieur Murray les portes restent closes. Puis, un homme, puis deux, puis au final, huit personnens , dont la moitié portent les uniformes de la maréchaussé pénetrent dans les wagons. Vous entendez alors par le haut parleur du wagon:

"Mesdames et messieurs! Ici la police de Boston. Ne vous inquiétez pas vous ne courez aucun danger! Ceci est une enquête. Veuillez préparer vos papiers d'identité et répondre aux questions des inspecteurs de police."

Apparement, les autres voyageurs avaient suivi leur instinct grégaire de bon sujet de la société en prévenant le conducteur de train qui avait lui même contacté les autorité compétente. Alors que vous vous regardez, la porte ds'ouvre et un homme , la cinquantaine environ, les tempes grisonnantes, le visage ridé et la mine acceuillante mais sérieuse, affublé d'un grand imperméable beige, ouvre la porte de votre compartiment. Il est accompagné d'un agent de police en uniforme, il vous brandis son insigne en vous informant:
"Messieurs bonjour. Comme nous l'avons annocé, j'aurai quelques questions a vous poser. Tout d'abord, je vous demanderais de me donner vos papiers d'identité, et les quelconques liens que vous avez entre vous. Ensuite..."

Il pointe la place de Jewel encore occupée par quelques affaires:

"A qui appartient cela?"

Après votre réponse, l'homme regarde la pièce et ses yeux tombent sur la tache de sang laissée par l'enveloppe sur le sol et sur la table. Il vous dévisagent alors tous d'un air sévére, et vous lance:

"Et bien messieurs...je crois que nous avons à parler..."

D'abords surprit qu'on lui adresse la parole mais ravis que se soit en bon terme et de plus pour parlert de son rat, Anthéus lui répondit: "ELLE s'apelle Djull et elle et trés gentille, c'est mon amie" (Vous constaterez noble PJ que le nom du rat à changé car kevin pr une femmelle ça le fait pas!!). Puis il retournat dans ses rèverie jusqu'à l'arriver en gare fort mouvmentée. Aprés avoir montré ses papiers (chifonnés et légèrement déchiré) Anthéus se remit à gratter son épaule, évidemment la présence de ces hommes en uniforme le rendait mal à l'aises (comme beaucoup d'autre chose!!).

Jewel avait finit de se morfondre sur un des sièges du fond, plongé dans la pénombre, au moment où elle avait entendu l'annonce venant du haut-parleur. C'était une situation qu'elle n'avait pas imaginée, mais ce n'était pas pour autant qu'elle s'inquiétait du sang et de l'enveloppe déchirée qui se tenait près de sa place : elle les avait tout simplement oubliés.

Mais l'existence de ces choses dérangeantes se rappella à elle lorsqu'elle dû retourner auprès de son sac pour sortir du fond d'une poche sa carte d'identité, tout en bafouillant des excuses et des explications aux policiers. Et puis... la jeune fille se raidit et son teint pâlit... Elle avait peur, très peur que tout se passe comme dans ces films de seconde zone où l'innocent se retrouve au mauvais endroit au mauvais moment et que suite à une série d'évènements fâcheux, il ne se retrouve dans une très incofortable situation. Elle inspira profondémment puis se retourna brusquement vers l'agent de police qui venait de parler, elle sortit la lettre de sa poche. Elle faisait un gros effort pour que sa voix ne tremble pas et donner l'impression qu'elle était sûre d'elle.

" Je vais vous expliquer : l'homme qui s'est défenestré ce soir est d'abord passé par notre wagon, il avait l'air très inquiet et il devait être blessé à la tête... il a trébuché au milieu des sièges et avant de se relever complètement, il a jetté cette enveloppe sur le sol en parlant d'un certain William Liseron. Après ça, il est repartit en courant et... j'ai ramassé la lettre pendant que cet homme Elle montra Hypérion du doigt s'est mis à courir derrière le... la euh... victime ? Pour lui venir en aide... mais il n'a rien pu faire d'après ce qu'il nous a dit... ensuite, j'ai appris en lisant cette lettre que l'inconnu s'appelait Phil Murray et qu'il était attendu ici-même à la gare par son ami William Liseron... Ecoutez, ça a l'air vraiment louche présenté comme ça mais... je m'en veux de n'avoir rien fait pour Monsieur Murray et je tenais à informer son ami avant de faire autre chose... il travaille à la police de Boston en plus... enfin, regardez la lettre... "

Jewel la lui tendit et se composa une mine de petite fille coupable et prise de remords pour l'amadouer, serrant son sac comme pour se protéger derrière ce dernier...

L'arrivé en gare ce fît sans autres discours, la jeune fille était allé s'isoler au fond du wagon et il ne préféra rien ajouté voyant que son comportement la gênait. Le haut parleur annonça un controle de police. Lassé par cette journée qui commenceait a vraiment l'énerver, il saisi sont portefeuille dans la poche arrière de son pantalon et en sortit ses papiers. Lorsque l'agent ce présenta dans le wagon il remarqua les affaires de la jeune fille et demanda a qui elles appartenaient, n'ayant pas même le temps de répondre, celle ci était revenue vers ses affaires et expliqua tout ce qui c'était passé au représentant des forces de l'ordre. Il ne put s'empêchez de la méprisé dans un premier temps, et il l'imaginait bien comme une étudiante lèche botte qui n' hésitait pas a ciré les pompes des profs et répondait a toutes les questions comme toutes les "miss-je-sais-tout" et qui tenait a le faire savoire. Mais il constatat que son discour n'était pas si mal tourné, et ce "sentiment de culpabilité" qu'elle ressentait pourrait peut être lui permettre d'arrivé a ses fins. Il ne put s'empêché d'ajouter enchainnant directement après elle:

-"Ce qui paraissait bizard avant tout, c'est le comportement qu'il avait... Il semblait oppressé, poursuivit... Tout juste si il prêta attention a nous, il saignait apparement du crane mais cela ne semblait pas plus le gêné puisqu'il continua sa route de plus belle. D'ailleur nous n'avons vue aucun poursuivants..."
Il lessa dans sa phrase un ton suspendu qui mettait en doute le santé mental de Phil Murray.

hrp: dsl poste rapide, pas le temps de me relire, excusé les incohérences si il y'en a...