Train-train quotidien

Après l'arriver du cinquième protagoniste, nous arrivames en gare ou Hypérion fut surpris de l'arriver rapide des inspécteurs... Mais cela lui apporta surtout du réconfort,il sorti ses papiers et fut désapointer du comportement de Jewel mais il compris, et ajouta après l'homme au chapelet:

Je suis medecin... j'ai tenter en vain de rattrape cet homme quand j'ai vue ses blessures, mais je suis arrivé trop tard,je suis en suite revenu et nous avions décider de rencontrer l'homme mentionner sur la lettre...mais j'admet que ce n'était pas vraiment en règle avec les procédures...Sinon nous n'avons je pense, aucun lien commun, c'est la première fois que nous nous rencontrons.

S'adressant à son nouveau voisin sans se sentir géné ("le monsieur s'intéresse à la gentille Djull donc lui aussi il est gentil, donc il me taperat pas si je lui parle!!"): "Pourquoi la fille à l'air triste, elle à fait une bétise?? Elle ressemble à Anthéus quand il dit à ses parents qu'il à fait une connerie" Il sursautat et mis ses deux mains la bouche comme un enfant qui se sent coupable d'avoir dit un gros-mot; Il reprit alors "Le monsieurs qui à demandeé à Anthéus ses papiers vat oas la taper quand même?!"

(Désolé si le post est moyen, j'étais en cours quand je l'ai écris.)

Le vieux policier regarde votre manège avec désintérêt. Blasé, d'un travail qui semble desormais être une ennuyeuse routine, les deux seuls moments où son attitude change sont quand il entendi la réponse de Anthéus. Il tourna des yeux étonné vers l'autiste, et d'une délicatesse mielleuse, il lui pârla, comme pour le rassurer, mais qui ressemblait plus a de la pitié. Bref, ce type n'était pas vraiment méchant, juste lassé par son travail. Puis, tandis que l'homme en uniforme qui l'accompagne relève différentes informations sur vos cartes, l'homme jauge Jewel d'un oeil critique, puis, il lorgne l'enveloppe tâchée et, soudain plus interessé, sort une paire de gants en latex, attrape l'enveloppe avec une petite pince et la glisse soigneusement dans un sachet reessemblant a s'y méprendre a un emballagae alimantaire pour congélateur. Après avoir rapidement griffoné deux trois lignes sur l'enveloppes qui reçût chacun des deux sachets, il confie le tout a un policier qui passait. Puis il vous regarde, et, contre toute attente, a parfaitement écouté tout ce que vous aviez dit pendant ce temps et en a retenu les moindres détails. Sa mine semble un peu plus sombre, puis marmonant entre ses dents vous parvenez toutefois a entendre son soliloque:

"Liseron...dans quoi il c'est encore lancé cet abruti...C'était pour ça qu'il était déja là..."

Puis, il se prend la tête dans les mains, d'un geste qui vous fait rapidement comprendre que ce Liseron ne doit pas être une lumière, et que apparement, il est son supérieur plus ou moins haut-placé.

"Bon. C'est votre jour de "chance" (fit-il en accompagnant le mot "chance" d'un geste imittant des guillemets) puisque cet homme, qui est un de mes collègues. Est en ce moment même dans ce train. O'Conell! Allez m'le chercher!"

Ordonna-t-il severement au policier l'accompagnant. celui-ci par aussi sec dans le wagon et revient quelques secondes plus tard accompagné d'un homme que vous ne faites qu'entendre. Vous entendez les deux policiers échanger deux trois mots, des histoires de procédures, le vieil homme lui explique ce que vous lui avez dit, puis, l'autre commence a parler de sa fille, mais a peine a-t-il dit trois mots, que l'autre policier l'interrompt et lui dit de se remettre au boulot. Sur ce, vous l'entendez s'en aller. C'est alors que l'homme rentre dans le wagon. Il a environ 30-35 ans, est de taille moyenne, blond avec les cheveux long à la mode des années 80 comme starsky et hutch, et porte une énorme paire de ray-ban noires, toujours comme les deux héros de séries. Il ressemble étrangement à Mc Gyver et a un style digne de Richard Dean Anderson dans ces séries, un vrai fan de seventies. Il semble extravagant mais sa mine sérieuse vous pousse à l'ecouter:

"Je suis Liseron...William Liseron! Je vais devoir vous demander de nous suivre au poste ou nous releverons vos empreintes et vous demanderons de faire un rapport. Mais avant tout je voudrais que vous me reexpliquiez encore une fois votre histoire..."

Une fois cela fait, il vous fait tous descendre et vous tasse dans un fourgon de police et vous emmène au poste. Une fois sur place, vous êtes accueuilli par l'homme en question qui vous accueuille a grand renfort de phrases chocs de séries B. Il rentre dans son bueau avec vous à ses trousses, ferme la porte et se jett sur son fauteil, croise les pieds sur son bureau et vous egarde par dessus-ses ray-ban en mâchant avec insistance un chewing-gum...encore un tic de héros de série des années 1970... De plus, vus remarquez une réplique de la voiture de starsky et hutch sur le bureau, un bordel monstre, une veste en jean pendue au porte man,teau et baucoup de photos d'une petite fille. Puis, après vous avoir sougaité la bienvenue a Boston, William se relève et commence à vous parler sur le ton de la confidence:

"Mesdemoiselles messieurs, vous avez été mélés à cette sordide affaire malgré vous...mais j'ai toute les raisons de croire que vous avez été choisi par une force supérieure! Aussi...je vais vous expliquer de quoi il retourne...Mais avant...Croyez-vous à l'existence des forces cabbalistiques?"

Vous avez beau chercher, user de toute votre empathie, deux solutions se posent à vous: ou cet homme est un acteur magnifique, ou il croit vraiment à ce qu'il dit...

Jewel était déstabilisée, un homme mort de manière louche, des policiers qui l'emmènent au poste comme ils disent... Durant le trajet en fourgon, elle ne put s'empêcher d'alerter sa môman en sanglotant et après quelques instant accrochée à son portable, elle réussit à obtenir de sa mère qu'elle n'appelle un avocat que sur la demande de sa fille.

[HRP : pas le courage de faire cent quinze lignes de description >.<]

Le bureau dans lequel on la fit s'asseoir, sur une hideuse chaise, ne manqua pas de la remuer, mais dans le bon sens : c'était tellement risible qu'elle se sentait prête à sourire. Cependant, elle déchanta très vite quand l'autre clone de McGyver se mit à lui parler de forces occultes, ça tournait vraiment à la série B voire Z.. mais surtout, il ne parlait pas de Phil Murray... Doucement mais d'une voix claire qui ne tremblait pas, elle lui exposa ce qui la dérangeait.

" Mais... et votre ami, Phil Murray ? Il est mort et vous nous parlez de... de forces cabalistiques et de puissance supérieure ?! Et pourquoi pas les Ghost Busters tant qu'on y est ?! "

En fait, elle n'était pas si calme que ça... elle culpabilisait depuis un moment à propos de la mort de Phil et voilà que ce policier lui parlait d'histoires de fantômes, à elle, l'étudiante cartésienne par excellence...

La situation était étrange, ce policier ne paraissait pas tellement choqué par la mort de son compagnon. Ses gouts plutôt exentriques ne le mettait pas en confiance et il ne savait ou ce mettre dans ce bureau. Il le parcoura plusieurs fois du regard, mais il ce fixa sur la photo d'une jeune fille. Cette petite fille était présente de multiple fois sur le bureau, et forcément il ne pu s'empêcher de penser à sa soeur. Il "buga" un instant et son regard perdu dans l'image fixe de la petite fille il ce demanda ce qu'il faisait là, il ce dit qu'il serait bien plus utile a son chevet ou en train de chercher une "solution". Mais avant qu'il n'eut le temps de finir sa pensé le discour de Liseron le sorti de son coma. Le choque que celui ci lui provoqua lui coupa la chique, il mis un moment a mettre ses idées au clair. Tout d'abord ce soi-disant flic sorti directement des seventies ne semblait pas touché par la mort de son camarade, mais en plus il vint a leurs parler des forces cabbalistiques. Ce en quoi il ne voyait aucun rapport. Jewel sans doute plus vive d'esprit que lui fut la premiere a rompre le silence pour posé la question qu'il ce posait tout les deux...

Son regard ce posa intensivement sur Liseron, comme si il pouvait le sondé du regard et voir ou il voulait en venir. Les forces cabbalistique Simon s'y était toujours intéressé car grace a elle il aurait pu aidé sa soeur, il avait toujours espéré découvrire un vieux grimoires rempli d'incantation ou de sortilège. Pour la première fois un sentiments d'axaltation ce réveilla au fin fond de ses tripes. Il redoutait le canular ou la fausse joie, mais il ne pouvait s'empêché d'espérer. C'est pourquoi son regard fixait Liseron sans même ciller, près à le "descendre" si il ne s'agissait que d'une farce...

Daniel n'avait malheureusement pas pu suivre en détail la scène qui c'était passée avec l'étrangé paniqué, néanmoins la version des faits énoncés par la jeune fille aux policiers était assez précise pour satisfaire ça curiosité.
Son attention fut attirée par le garçon, Anthéus, qui lui posa une étrange question.
Daniel lui souris et dit doucement :

ne t'inquiète pas pour la demoiselle, elle ne risque rien pour le moment

Après cette brève discution, lui et ses compagnons de voyage furent "invités" au poste de police par un homme fort étrange, on aurait dit que celui-ci sortait tout droit d'un vieux film des années 70. "me voila embarqué dans une drôle d'histoire" se disait-il
Une fois arrivé au poste et après un voyage particulièrement pénible coincé dans une fourgonnette de police, l'étrange bonhomme convia tout le monde dans son bureau. Là, Daniel pensait qu'un interrogatoire sans fin les attendait, mais il fut surprit d'entendre ce que ce William Liseron avait à leurs dire à la place, en effet, il était plus question de forces occultes que de banalités auxquelles il s'attendait
La fille qui les accompagnait fit savoir son point de vue, se qui fit sourir Daniel

S'adossant au mur, il indiqua donc à son tour d'un ton tout a fait calme :

Je suis désolé de vous décevoir mais, en tout bon cityen que je suis, je ne peux pas non plus croire une telle histoire. Voyez vous, moi tout ce qui m'importe, c'est de gagner de l'argent pour faire vivre ma famille et je préfaire ne pas trop m'occupé des affaires des autres, bien que ma curiosité me pousse parfois à me renseigné sur des evenements bizarres comme ce qui est arrivé à votre collègue.

Quand il eu fini, son regard se trourna instrinctivement vers cet homme étangement froid qui fixait Liseron, on aurait dit que celui-ci buvait ces paroles avec interet

Anthéus trouvat le trajet en jusqu'au poste trés amusant! (Quel petit garçon n'a jamais réver de se ballader dans un camion de police qui fait "Pin-pon"). Bien que sont bonheur fut atténuer par les gémissement de la jeune fille. "Pour une fois que Anthéus s'amuse il faut qu'on l'embête en pleurnichant, pas vrais Djull!!".
Une fois arrivé dans le bureau de l'agent Liseron, il portat sont attention sur les nombreuses photos de la petite fille: "Anthéus aurait bien aimer avoir une petite soeur avec qui jouer. Et puis il aurait put la consoler si elle avait eu du chagrin. Mais surtout il l'aurait protégée des méchants parent pour pas qu'elle se fasse taper!!". Une larme coulat alors sur ca joue et il se recroqueviat sur lui même tous en serant sont rat contre son visage pour se réconforter. Mais lorsque l'agent Liseron parlat d'une éventuel présence occulte, il se redressat et écoutat attentivement les arguments de chacun. Une fois que plus persone ne parlait, il se levat brusquement pour parler à son tour. Mais se rapplant tous ce qu'on lui avait fait subir à chaque fois qu'il parlait de ces présence qu'il percevait, il se rassit aussitôt en mettant ses mains sur la bouche. Ensuite il parut faussment passioné par la voiture qui se trouvait sur le bureau.

Hypérion comença à fatiguer de tous ce si... il se sentai conserner par cet affaire et même pret a aider; mais cet homme l'avait terriblement ennuyer, son "style" sont compotement cet "balade"et... pour finir, cet phrase... Qui l'avait totalement désésper.
L'homme au chapelet montrait cepandant enfin un signe d'interet,et le gamin nommer Anthéus se retenu de s'exprime à se sujet (Hypérion c'était pris de pitier pour l'innocence et les "troubles" de cet enfant) Il se demandait de plus en plus ce qu'il faisait la;s'asseyant les jambes croiser et se tenant la tète avec la main il ferma les yeux et prononça:

Inspecteur, nous somme venu ici faire notre déposition...pas, parler mystique, cabbalistiques ou théologie...venez en au faite, et arreter de jouer. Soit vous nous renseigner sur Phil Murray, soit vous nous laisser repartir chez nous...
Mais j'aimerai comprendre les acts de cet homme.

Hipérion ouvrit les yeux et regarda d'un air sombre et patient l'inspécteur, il attendait maintenant une réponce; une explication clair à tous ceci, car même si la mort de Phil Murray était des plus étrange, il se refusait tous bonnement a l'idée d'une conclusion paranormal, il s'imaginait plutot que cet homme aurait put travaillait sur un réseau de secte fanatique et que l'inspécteur allait leur en parler...

Vous voyez l'homme vous écouter d'une oreill que vous emble diistraite, machônnant bruyamment son chewing-gum. Tout en vous écoutant, il prend la peine de jeter son chewin-gum, de se curer les ongles, et regarde d'un oeil critique le gamin autiste qui admire la réplique de voiture. Pas pour e blâmer, bien au contraire, juste pour proteger la voiture. Quand vous avez tous parlé, il enlève ses pieds de son bureau, se tourne vers vous, joint ses mains et baisse la tête. Il commence à vous dire d'une voix sombre, grave...:

"Mademoiselle, monsieur...Sachez que...."

Se levant violement, il frappe le bureau de ses deux mains, répandant les monticules de papiers qui recouvraient son bureau à travers la salle, entre effet de style et réelle colère, l'inspecteur liseron vous réponds d'un ton cinglant,enervé et determiné:

"Je ne SUIS PAS un foutu taré...Il faut que vous sachiez...(sa voix retruve un ton sérieux et grave) que j'ai toute mes raisons de croire ce que je vous dis...aussi, si vous ne voulez pas vous attirer les foudres de forces qui vous échappe, et par la même ocasion vous ramasser une prune pour outrage a agents, je vous reccomande d'arrêter de me prendre pour un simple d'esprit."

Puis, relevant le regard, d'un plissement de fornt et d'un mouvement du nez, il baisse ses ray-ban sur son nez et vous regardent par-dessus ses lunettes noires:

"Pour ce qui est de ce Phil Murray. Je ne le connaissais que par courier, nous avions échangé deux ou trois lettres, sur un problème qu'il avait. Et qui, il pensait, m'interesserait...Aussi, ne croyez pas que je m'en foute, mais ce n'était pas mon amis. Et des morts, on en voit dans ce job."

Puis il se rassoit sur son fauteuil à roulette, jette ses lunettes sur le bureau et vous regarde d'un air de défi:

"Mais comme vous ne semblez pas me croire, je vais vous laisser partir, mais d'abord, comme vous êtes mélé a ce crime sordide (il affiche desormais un sourire revelant ses dents blanches, digne d'une série des seventies, et qui jure avec la situation)

, je vais relever vos empreintes et vous mettre en garde a vue, etc etc...Ou alorrs..."

Il lorgne par la fenêtre de son bureau, vérifie que la porte et fermée et baisse le ton:, adossé à la porte, un pied sur celle -ci, genou fléchi, il vous dit, secouant la tête pour remettre sa tignasse en ordre, puis, attrapant un cure dent dans sa poche, il se le dépose sur les lèvres:

"Ou alors je vous laisse le choix de me suivre pour que je vous prouve que ce que je dis n'est pas une histoire...Mouhahahahaha"

Ce rire stupide vous tente de sourire ou de rire tellement le personnage qui vous parle en es trendu bête, mais le choix de répondre vous incombe desormais...Puis, son regard se porte à nouveau sur Anthéus, il n'est plus severe, ni apitoyé, ais plutôt interressé,interessé à l'extrême. Derrière ses allures de balauds et ses reflexions abracadabrantes, vous voyez un eclair d'astuce passer dans les yeux de William, il n'est pas devenu policier pour rien...Et d'un ton tout aussi determiné, il demande à Antheus:

"Dis moi boy! Elle te plait cette voiture? M'étonne pas! Un vrai bijou! Une replique de la ford gran torino de Starsky et hutch, les grands starsky et hutch! Si tu veux! Je te montrerai la même mais en vrai! C'est ma voiture! "

De la fierté semble le gonfler à l'ennonciation de sa voiture, puis son regard dse pose sur les photos de petites fuille, et il smeble hypnotisé par la vue de cette gamine dont les photos sont partout entre les posters de starsky et hutch, Mc Gyver et autre agence tout risque...

Décidément cet homme était étrange... Il semblait ne pas vouloire leurs dévoilés ce qu'il savait avant qu'ils aient acceptés. Son gout des vieilles séries télé semblait plus que douteux et il semblait entretenir son apparence pour ce donner du style. Simon détestait cela, une personne on ne peux plus fausse qui tournait autour du pot pour mieux leurs donné envit d'accepté... Et ce chantage, il détestait encor plus cet acte ignoble qui vise à profité d'une situation de supériorité pour forcer une personne a accomplir un acte quelle n'aurait pas accompli en temps normal. Il hésita à laissé ses empreintes et sortir en claquant la porte. Mais compte tenu de son passé tumultueux il savait que les flics ne le laisserai pas tranquille. Il jeta un regard noir au flic, et constata ce mutisme a la vu de la photo de la fille, Il se ravisa aussitôt.
Comprenant que cet homme avait plus besoin d'aide que d'autre chose il envisagea d'accepté sa proposition. Voila que maintenant il ce mettait a faire preuve d'humanité si cela continuait il allait s'inscrire a greenpeace et milité pour la sauvegarde de la baleine...Cette percepective l'amusa un peu. Il revint a la réalité et regarda la pièce d'un autre oeil, si il comprenait bien cette personne tout ses posters et autres figurines n'étaient que des placebo pour oublié la perte d'un être cher. Ces sentiments de compassion étaient nouveau pour Simon, surement car la situation de cette homme avec cette petite fille qui ressemlait à sa soeur lui parlait.
Penssant toujours a ce que le flic pouvait bien savoir il ajouta sur un air narquoi qui ne laissai rien présagé de ce qu'il avait ressenti bien au contraire:

-" et bien montré nous, ce que VOUS savez..."

Il repris son regard perçant en attendant sa réponse. Maintenat qu'i avait cerné le personnage, il lui serai plus facile de savoir si il disait la vérité. De plus un instinct le poussai à savoir ou il voulait en venir. Il espérait ne pas etre déçu et il savait qu'il tenait enfin l'homme qui lui confirmerai ce qu'il avait toujours soupçonné. Un petit sentiment d'exaltation pointa son nez alors qu'il attendait impatiament la réponse...

Hypérion était en colère!!! Nous ne somme pas mêler à cet affaire et pourtant cet homme tien a nous impliquer de force...pourquoi??? En plus de ces divagation et son insistance incompréhensible à intégrer des éléments surnaturelle à la situation...Il n'avait qui plus est apporter aucune forme de réponse aux questions. Bien qu'Hypérion veuille entrevoir le fin mot de l'histoire, il déteste le chantage et ne supporte guère la situation...

Bien! il semble que nous n'ayons pas le choix... Cesson de tergiverser alors, montrer nous vos preuves et qu'on en finissent...

Hypérion ne considérai pas cet homme comme stupide, malgré son apparence, il était inspecteur de police ; et même si cet affaire restait troublante, il voulait en connaître le dénouement. Il aurait put le contredire, jouer son jeux, rester en garde à vue, faire appelle à un avocat, et se servi des autres témoin du train pour prouver qu'il n'y était pour rien, mais...une étrange curiosité oppressante le poussait a suivre William Liseron dans sa dérangeante folie.

Ce type était complètement dingue, et en plus de ça, c'était un salaud qui utilisait le chantage pour obtenir... pour obtenir quoi ? Que Jewel et les autres types aillent passer une nuit dans une " maison hantée " pour libérer un quelconque esprit et lui permettre de reposer en paix ? Ben voyons, et Jewel était la petite amie du loup-garou du campus... Gardant son calme cette fois-ci, et pas un calme d'amateur, l'étudiante fixa l'officier de police. " Sale enfoiré " disaient les yeux. La jeune fille prit alors le temps, pour exaspérer son interlocuteur, de remettre sa chevelure en place et de s'éclaircir la gorge.

" Bon, très bien, j'abdique, après tout s'il ne s'agit que d'une petite séance de ouija ou une autre ânerie de ce genre, je ne vois pas pourquoi je refuserais si ça peut m'éviter une nuit ici et ce genre d'embaras... "

" Et si votre truc me paraît louche, j'appelle les flics, les vrais ! ", se disait Jewel, cachant le fait qu'elle sentait pointer une histoire qui pouvait devenir sordide. Ca faisait vraiment trop de garçons autour d'elle...

À l'annonce de l'agent Liseron, Anthéus fut ravit:" Enfin quelqu'un qui percois les même chose qu'Anthéus!!!!". Il fut alors prêt à le suivre n'importe où, tend que cela permetrait de prouver qu'il avait raison et donc, qu'il n'était pas si fous que ça!!

Par contre il répondit à Liseron: " Les voitures, Anthéus il aime pas: ca fait trop de bruit, ca pue et c'est moche. Par contre les camion qui font "Pin Pon", Anthéus il trouve ca rigolo!!!"

Ecoutant vos réponses l'une après l'aute en hochant imperceptiblement la tête de temps à autre, Liseron arbore un sourire léger qui s'aggrandi au fur et a mesure des réponses. D'un air suffisant et très fier de lui, il arpente desormais le bureau, passant dans votre dos à pas legers, ces bottines de cuir tapant sechement sur le sol en un claquement presque digne d'un western. Comme Jewel l'a fait pour l'enerver, avec un certain effet apparement, mais moins important qu'espéré, il prend un temps avant de vous répondre, accrochant sa veste au porte manteau, remettant ses cheveux en place et regardant ses appels sur son portable. Puis il se rassoit en face de vous, lentement. Jette son telephone négligement sur le bureau, qui vient se loger à côté des lunettes, il vous regarde avec son sourire arrogant, il vous regarde, et semble content de la réussite de sa manoeuvre. Il prend une dernière inspiration avant de vous répondre d'une voix douce et agréable:

"Et bien voilà! Comme quoi, vous semblez enfin comprendre...Donc comme nous semblons enfin trouver un terrain d'entente...Nous allons pouvoir avancer. Je vous rends vos papiers"

Il s'éxecute, jettant avec précisions et force annéessoixantedissité, vos papiers respectifs dans vos mains. Cet excès de théâtralité commence a vous demander si vous ne seriez pas une création cathodique...Comme si ce personnage ne sortait pas d'un film. Puis, mirrant une lampe a magma jaune-orangée posée au milieu du bureau Babylonien, il reprend:

"Par contre, vous comprendrez que je ne peut pas me permettre de vous laisser repartir hors de protection. Aussi...Voilà ce que je vous propose. Je vous laisse rentrer chez vous. Poser vos affaires vous doucher dire bonjour a vos proches etc...Et une fois cela fait, je vous demande de me rejoindre dans un endroit sûr. Dont je vous confierais l'adresse. Disons, au plus tard pour 23h00... Êtes-vous d'accord?"

Puis, la remarque d'Anthéus viens frapper Willy de plein fouet, il est tellement étonné, dèçu, et ofensé, que vous avez l'impression qu'il va rééelement omber de sa chaise. Hagard quelque seconde il se ressaisit, attrapant avec mille-et-une délicatesse, la réplique de voiture et, la caressant lentement du bout des doigts, tel un bébé, il réponds sèchement:

"Tout le monde n'a pas un goût toujours très developpé. Mais dans certain cas, il semble que cela soit comblé par d'autres...capacité. On aura une discussion toi et moi, ne t'inquiète pas rien de méchant."

Bizarrement, son ton te met ma l à l'aise, il semble enervé. Ta remarque sur la voiture, visant à moitié sa précieuse réplique semble l'avoir vraiment blessé. Mais bon...Puis il reprend, toujours à l'adresse d'Anthéus.

"Au fait Boy...T'es majeur? Non? Bon...Alors va falloir que je previenne tes parents. Je te ramenerai si tu veux...Tu veux? Tu verras une vrai voiture qui fait "pinpon" en plus !"

Puis son regard se pose sur vous tous, jaugeant du regard chacun d'entre vous, différents sentiments passent dans son regard, compassion, neutralité, amitié, inquiétude, satisfaction...Vous n'arrivez pas vraiment a savoir qui ou a quoi sont adressé ces regards. Le seul que vous parvenez a identifier, est le regard mauvais qu'il jette du coin de l'oeil à Jewel, apparement, sa manoeuvre a porté ses fruits, et Willy n'est pas vraiment un exemple de calme...

Jewel était RA-VIE de son petit effet sur Liseron, elle lui montrait clairement de cette manière qu'il n'avait pas une emprise complète sur elle et c'était tout simplement jubilatoire ! Et elle ne put s'empêcher de sourire intérieurement devant la déception de l'inspecteur quand l'autiste, Anthéus, lui dit ne pas aimer les voitures... pôôôvre inspecteur ! Enfin bref, il fallait ne pas trop tirer sur la corde sous peine de se ramasser des ennuis... c'était quand même un officier de la police de Boston que la jeune femme avait en face d'elle...

L'étudiante reprit un air digne et attendit patiemment une occasion pour répondre d'un ton neutre.

" Bon, très bien, ça me va comme façon de faire, où est-ce qu'on devra vous retrouver ? "

Elle avait déjà des idées en tête, notamment passer un coup de fil à ce charmant jeune homme qui pouvait parfois lui fournir des informations sur des sujets divers... peut-être qu'il avait récupérer des informations sur ce flic un jour...

Daniel n'aimait pas du tout être manipulé ainsi, mais voyant que tout le monde avait plus ou moins accepter, il aquiéça d'un signe de tête.
Il devait maintenant expliqué à ça femme qu'il partait à la chasse aux fantomes, cela n'allait pas être chose facile, elle allait le prendre pour un fou c'est sur.
La chose le préoccupait tellement qu'il ne préta aucune attention à la scène quelque peu comic qui se déroulla entre le commisaire et Anthéus. "Je me demande si la situation pourrait être pire?" se disait-il en écoutant Liseron leur indiqué le lieu de rendez vous.
Il dit enfin en soupirant :

J'espère que cette histoire ne me fera pas rentré trop tard, sinon ma femme va se poser des questions

Il se souvint soudain de son chien, Doug, qui l'attendait chez lui
Fixant le commissaire d'un regard soudain redevenu plein de malice, il lui demanda :

Nos compagnons a quatres pattes font bien parti de l'aventure n'est ce pas?

L'idée d'emmener Doug avec lui, le laissait dans un état de satisfaction inapproprié à la situation

La situation ne lui convenait pas, retrouvé ce flic en pleine nuit avec une bande d'inconnus le faisait légèrement frissonné. Ce n'était pas tellement de passé la nuit dehors ou dans un comissariat désert qui lui faisai peur, après tout cela lui était arrivé plusieurs fois de finir ses nuits dans une ruelles mal famé endormit entre des épluchures de pommes de terres et des restes de crevettes faisandées. Il connaissait même pas mal de SDF à qui çelon certaines personnes ils consacraient beaucoup trop de temps, mais c'était plus fort que lui.

Non son mal à l'aise provenait plus de se flic et de tout se monde. Ce n'était pas un comportement habituel pour un flic. Il n' était pas habitué aux excursions touristiques de groupes, il préférait souvent à cela la solitude même si être seul dans une rue a 3 h du mat' lui avait déja apporté quelques problèmes et séjours à l'hôpitale, mais il ne s'agirait surement pas de tel chose.

Soumis au chantage de cet homme il était obligé d'accèpté, ses antécédant de drogué inculpé pour homicide alors qu'il n'était pas majeur ne jouai pas en sa faveur. Bref il préféra tenir un profil bas et attendre qu'il les libères. Prit dans ses pensé il ne prêta guère attention aux autres, s'intéressant plus à son problème actuel... Il attendait surtout le nom du lieu de rendez vous pour pouvoir partir de ce bureau plus que psychédélique pour lui...

Anthéus fixait attentivement le policier lorsque celui-ci lui parlait, ou plutot ses dents: "Beurk il a un truc entre les dents, si ca se trouve c'est là depuis trois jours!!" puis il se mis à ricané. Mais quand Liseron fit allusions à ses parents, il changea d'expression. Ses traits se durcire et son visage se rempli de haine,...

"Non papa!!!! Anthéus à rien fait!!! AIE!"

...ses mains se mirent à trembler et il fixa alors Liseron les yeux plein de rage. Il ressentait à cette instant toute la soufrance et la colère,...

"Espèce de sale morveux!!! Tiens prend ça!"

... la tristesse et la douleur que ses parents avaient engendré en lui depuis sa naissance. Il n'endendait plus la voix de Liseron...

" Petit con, regarde se que je suis devenu à cause de toi!! Tu mertterait qu'on t'abandonne dans un caniveau"

... mais celle des se parents. Puis un petit couinement le liberat de ses souvenirs, c'était Djull. Il la saisit alors et la serat contre son visage. "Merci" lui murmurat-il.
Une larme coula alors le long de son visage.

Quelle incertitude...Hypérion était pris de doute et assailli de question; pourquoi nous laisser repartir???Pourquoi nous donner rendez vous hors du commissariat à une heure si tardive??? Qu'es qu'il nous cache??? Hipérion changea de comportement il devenu sombre ses pupille se dilatères.
Qu'es qu'il attend de nous??? il resta immobile un moment, avant d'entendre Anthéus... sa souffrance et sa douleur si apparente calma la sienne, une rage si forte que ses ombres s'en enivrait et s'apaisai... finalement pas de raison de s'inquiéter, j'irai, aussi étrange que cela paraisse Hipérion était détendu et prêt a suivre le l'inspecteur.

Bien, dans ce cas je vous laisse, j'aimerai passer à mon cabinet avant se soir...ou doit on se retrouver???

Toujours derrière son bureau, le policier griffonne sur une feuille de papier différentes informations, puis les rangent dans un tiroir. Le cri soudain d'Anthéus arrive pile au moment ou il poussait le tiroir métallique, et dans un reflexes malheureux, William pousse violement le tiroir et se coince la main. Un juron a faire pâlir le plus grossier des hommes s'échappe de sa bouche alors qu'il ressort sa main tâchée de sang, sans être une plaie énorme, il s'est fait mal. Il gratifie le dit tiroir d'un violent coup de genoux avant de le refermer a grand coup de chaussures en jurant. Cet homme semble colérique ... On a tous ses vices après tout...Une fois calmé, il se plie la main dans un mouchioir et fait un rapide noeud. Puis il s'approche de Anthéus:

"Hey! Boy! Calmes-toi! Il y a quelque chose qui roule pas avec ta daronerie? Je préviens pas tes parents si tu veux..."

Puis, ayant écouté la réponse d'Anthéus, il vous regarde tous, il semble s'être calmé, même vers Jewel. Mais c'est vers Daniel que sa réponse se tourne. Il esquisse un sourire gêné avant de lancer:

"Mais...Vous ne rentrerz pas ce soir messieurs dames. Ce que je vais faire c'est vous heberger dans le cadre du programme Witsec... Cette maison fait partie du programme et vous y serez en sûreté. Demain nous irons voir quelqu'un qui vous en dira plus...Prevoyez donc de quoi passer quelques jours ailleurs. Je vais vous faire la paperasserie necessaire..."

Puis il se rassoit derrière le bureau, après une bonne dizaine de fouille dans les tas de chopses entassées sur son bureau, durant laquelle vous avez l'occasion de voir passer des rapports d'autopsie desossés avec des photos, des tracts publicitaires, des morceaux de pizzas moisi, deux trois papiers importants chiffonés ayant visiblement servis d'éponge, un filtre a café usagé et de nombreuses photos de ...de la fameuse fillette qui elle par contre, sont rangées soigneusement. Puis enfin, il remplit un papier chacun qu'il vous tend, où après le blabla administratif habituel qui justifie la deforestation abusive vous voyez le principal, la preuve que c'est bien pour vous proteger dans le cadre d'une enquête, que vous êtes sous sa responsabilité, et enfin une adresse en plein quartier residentiel de Boston. De mémoire vous savez que sans être un quartier bourgeois, le quartier reste confortable...

"Voilà, l'adresse est écrité en bas. Des questions?"

Il vous demande cela innocement semblant avoir oublié Anthéus et Djull, a force de papillonner et de fouiller son bureau-dépotoir-réplique de Babylone-bordelorama-marché aux puces. Et il a enfin perdu son petit air narquois si crispant et si digne de...Eh oui, d'une série televisées d'il y a trente ans... En attendant vos réponses, vous le voyez mirrer sa lampe a lave et les bulles qui s'y forme...

(PS: Witsec si il y en a qui ne connaissent pas est le diminutif de Witness security, le programme américain d eprotection des témoins.)

Anthéus pris le papier et se mis à le regarder dans tous les sens possible et immaginable mais sans le lire, puis il le fourat dans ça poche. Puis il se dit en lui même, à l'adresse de Liseron: "Bien fait, ils t'ont punis. Ca t'apprendra à parlé des méchant parent d'Anthéus."
Puis il se demandat comment résoudre ce problème: "Prevoyez donc de quoi passer quelques jours ailleurs"!! Il n'avait de sous sur lui et préférait mourir que de rentrer chez lui surtout si c'était pour demander de l'argent ou de la nouriture.

Hypérion hésita, se mit à rire jaune, puis à trembler... protection des témoins, c'est impensable, nous n'avons rien vue qui s'aurai à même de nous faire du mal, en plus nous ne savon rien!!!!!!!!!!... je suis fatiguer de tous sa, le stresse diminue l'espérance de vie, se disais Hipérion en tentant de retrouver le moral, quelque jour à flâner ne me ferons pas de mal; puis son regard se jeta sur ces nouveau compagnons d'infortune, il souri et se demanda ou cela allait le mener... Je vais passer chez moi récupérer tous mon matériel et le nécessaire pour une semaine, j'improviserai si sa dure plus longtemps. Je préviendrai aussi mes proches que je pars quelque jour pour un stage de médecine. Puis il s'adressa à l'inspecteur, résolu, encore une fois à le suivre :

Je suis médecin j'ai des responsabilité, quelqu'un doit prendre en charge mes patients...

Qu'est ce que c'était que ces histoires, la protection des témoins... Cet homme commençait sérieusement a l'énerver. Il faisait tournoyé son chapelet avec vitesse, l'enroulant et le déroulant autour de sa main d'un geste mécaniquement nerveux. Il attrapa le papier jeta un rapide coup d'oeil et le fourra dans sa poche. La situation ne lui plaisait pas, il ne savait pas trop quoi faire. Puis au bout d'un moment il en eut marre de tergiversé, il ce leva brusquement et sans adressé le moindre regard au flic tourna les talon et ce dirigea vere la porte.
-" Très bien alors mesdames et messieurs, je vous prirait de m'excuser mais j'ai d' importante chose a faire. Et si môssieur a fini de nous faire perdre notre temps, j' aimerai prendre mes dispositions pour pouvoir lui consacré quelque jour. Et si par malheur il s'agit la que d'une vaste plaisanterie je peux vous juré que vous aurez de mes nouvelles..."
Son ton était sec et dure voire carément menaçant. Puis sans même attendre la réponse de l'inspecteur il claquat vigoureusement la porte.
En vérité il n'avait rien a faire, enfin si, il espérait arrivé a temps avant que l'hopitale ne ferme completement ses portes. Il était déja entré par les urgences, mais la porte principal était quant même plus aisée, surtout moin remarquante. Bien que les heures des visites soit fini il savait bien qu'il trouverai un moyen de rentré, il l'avait fait plusieur fois après tout... Il espérait juste trouvé un taxi pour ne pas avoir a marché jusqu'au prochain tram...

Jewel jeta un regard sévère sur son papier et le lu attentivement trois fois, la première fois pour masquer son sourire mesquin, la seconde pour en découvrir le contenu et la troisième pour être sûre du-dit contenu ! Le programme Witsec, qu'est-ce que c'était encore que cette histoire ?! La première pensée qui lui traversa l'esprit fut qu'elle ne se laisserait ni teindre, ni couper les cheveux ! He oui, elle avait lu un roman où les personnages devaient passer chez le coiffeur pour changer d'identité plus facilement... Bon soit, là voilà partie pour un séjour sans doute plus désagréable encore que ce voyage à Paris avec des amis...

La jeune femme ne vit pas l'interêt de rester plus longtemps ici et se leva à la suite de l'homme au chapelet, mais contrairement à lui, ce fut sans un regard pour Liseron et dans le calme le plus serein... quoiqu'avec une démarche fière et hautaine... Lorsqu'elle serait chez elle, c'est-à-dire après un bref coup de fil à maman, à laquelle elle expliquerait une tout autre histoire, qu'elle était là pour des amis, un truc dans ce style... ensuite donc, elle prendrait tout ce qu'il faut pour des " vacances " et consulterait une de ses connaissances dans le milieu de l'informatique des pirates pour savoir s'il n'avait pas quelques informations sur William Liseron, que ce soit un dossier médical ou n'importe quoi...

Notre cher inspecteur vous regarde faire vos tour d'esbrouffe, de colère ou de fausse noblesse avec un petit sourire en coin. Apparemment, là, il s'en fiche. Il doit avoir l'habitude, même si il a craqué les fois d'avant. Etrange. Il vous laisse donc repartir chacun de votre côté. Apparemment plus occupé par sa main que par vos problèmes. Toutefois il répond à Hyperion avec un léger brin de suffisance:

"Vous êtiez en déplacement. Vous avez donc été remplacé, vous pouvez bien faire continuer cela quelque temps non ? L'état vous remboursera..."

Puis son regard se tourne vers Anthéus. Mais juste avant de parler, il fais signe a un officier quand Jewel sort, puis se remet a regarder le jeune autiste.

@ Jewel:

A peine tu passe le pas de la porte, un jeune officier charmant s'approche de toi et se présente avec certes un peu de formalité mais avec une chaleur sympathique dans la voix, il a l'air d'avoir a peine deux ou trois ans de plus que toi, et rempli plutôt bien son uniforme, ce qui lui done un peu ce prestige de poupée plastique pour garçon de dix ans.

"Officier Munroe. Voulez-vous que je vous ramènes? L'inspecteur me l'a demandé..."

Comme tu as accepté (sur msn) Il te fais monter dans sa voiture de patrouille, et tout en conduisant commence a entammer la conversation:

"Alors? Vous avez fais quoi à Liseron pour qu'ils s'enerve à ce point ?"

(on jouera la conversation sur msn ^^)

@ Anthéus:

Le policier te regarde avec une mine desabusée, apparemment il n'a pas l'habitude de parler à des gens comme toi, et il ne sait pas trop y faire. Tâtant sa main douloureuse, il te demande d'une voix qui te montre qu'il ne te consièdre pas comme inférieur, même carrément comme le personnage qui a le plus d'interêt, il te demande quand tout le monde est sortit:

"Si tu me parlais de ton don..."

@ Rom's:

Tu trouve sans difficulté un taxi et t'acquite de ta redevance, l'hôpital est proche de fermer les visites, tu ne peut rester qu'un quart d'heuire...Légalement.