Train-train quotidien

Bon si l'état me rembourse je me débrouillerai pour faire prolonger mon remplacement...Mais ce n'était pas prévu... Bon je m'en vais, je fais comme j'ai dit, et je rejoint l'adresse indiquer avec ma moto et toute mes affaires…

Je me met d'abord à le dévisager d'un air d'incompréhension! Cinq minute aprés je change d'expression prenant plutot l'air observateur, je le fixe dans les yeux pendant un moment comme si j'essayait de sonder son esprit puis aprés le regarde de la tête aux pieds en prenant note de chaque détail de son physique, aussi infime qu'il soit!
Ensuite je lui fait un grand sourir niai "Mon..... don? Bein euh tu as l'air de quelqu'un de gentil et pis anthéus te trouve rigolo avec ton allure toute bizzare!!! Sauf quand tu parles des parent d'Anthéus (on peut percevoir là une certaine tension et de la colère dans la voix). Antéus va donc t'en parler!!! Des fois il lui arrive de sentir comme si quelqu'un de diférent des autres était là." Je fis le tour de la pièce avec mes yeux puis en me penchant vers liseron je lui murmurai: "Quelqu'un qui ne devrait pas être là!" et je lui fit un clin d'oeil. Il reprit ensuite un ton normal, comme si de rien n'était: "D'ailleurs, aussi loin qu'anthéus se souvienne, il a toujours ressentit ça. Le plus bizarre c'est quand Anthéus est tout seul dans une pièce mais qu'il à l'impression que quelqu'un d'autre est là. Alors aprés avoir vérifié que persone d'autre, une persone visible Anthéus veut dire, bein il ce mais à essayer de lui parler il lui dit bonjour, comment tu t'appelle, pourquoi je te vois pas? Mais jamais persone n'a répondu à Anthéus. Peut-être que les messieurs qu'on vois pas ils saivent pas parler. Mais c'est bizzare que quelqu'un ne sache pas parler, y'a que les bébés ou les gens qui ont pas de langue qui peuvent pas parler. Peut-être qu'ils n'ont pas de langue, Anthéus ne pense pas que ce soit des bébés, sinon comment ils pouraient ce déplacer parcque les bébés ils savent pas marcher comme les adultes. Mais Anthéus il en à déja parler à quelqu'un, mais c'était son papa et aprés il s'est mis en colère tré trés fort! Alors Anthéus il a eu trés peur et pis son papa il à pris un ceinture et il l'a taper et taper trés fort et Anthéus il a pleuré pleuré et son papa il lui disait que c'était papa bien de dire des conneries et que si ça continuait il ce facherait encore plus et il le taperait encore plus!!!". Je me met alors à trembler et une larme s'écoulat le long de ma joue en même temps qu'une douleur lacérante m'apparut dans le dos. Une fois calmer je reprend: "C'est la première fois qu'Anthéus en parle à quelqu'un depuis ce jour là, à part à Djull. Mais est-ce qu'on peut dire que Djull c'est un persone?? ". Je prend alors mon rat, le soulève au niveau de mes yeux et fixe son regard. "Bien sur que Djull c'est une persone, mais pas comm les autres!! La preuve, elle s'intéresse à Anthéus alors que les autres non. Et vous, vous devait pas être une persone comme les autres puisque vous parler gentillement et respectueusement à Anthéus, vous êtes le seul d'ailleur, même Djull elle parle pas mais c'est pas pour autany qu'elle ne dit rien, elle parle à Anthéus à sa facon!! Est-ce que t'es un rat messieur? Bien sur que non, un rat ça à quatre pattes et toi t'en a que deux!! T'es bête ou quoi Anthéus??". Je jette alors un oeil sur le bureau et croise de nouveau le regard de cette jeune fille. "Dis messieur, c'est qui sur la photo? C'est ta petite soeur? Anthéus lui il aurait bien voulut avoir avoir une petite soeur!! Mais ces sales immondices n'ont jamais voulut faire plaisirs à Anthéus, alors lui donner une petite soeur, plutot crever!!!!!!! dit il en s'énervant. Mais Anthéus il aurait bien aimé, y-aurais peut-être au moins eu une persone qui aurait pas pris Anthéus pour un fou ou un attardé!! Parceque c'est comme ça que les gens ils cosidèrent Anthéus!! Mais Anthéus il est pas comme ça, il est juste un peu diférent c'est tous. Dis moi messieur, est-que quand on est diférent, les gens sont obligés par la loi de vous traiter mal ou c'est tou simplement parcequ'il on peur de vous donc ils deviennent méchants?"

Il arriva à l'hopital un quart d'heur avant la fin des visites, comme a son habitude il rentra dans l'hopital le plus discrètement possible. C'était presque devenue un jeu avec les infirmières, il lui falait ne pas ce faire voir car il savait qu'il était déja fiché. Rasant les murs les yeux baissé, il ce dirigea mécaniquement vère la chambre de sa soeur. Elle ce situait au fin fond de l'aile ouest, là ou on mettait les patients condamnés. L'higyène n'était donc pas des plus soignée. Il arriva enfin dans le couloir, les vieux néons grésillant lançait leur lumière blaffarde contre les murs jaunis. Il contempla un temps ce lieu si sinistre, ce n'était pas un endroit pour une jeune fille il le savait bien. Ce carrelage froid et sinistre, cet higyène déplorable le dégoutait. Il avait plusieurs fois cauchemardé de se couloir, il le parcourait sans fin, sans jamais atteindre la porte plus il avancait plus la distance grandissait et plus il se sentait petit. Quant il attégnait cette porte il était redevenu le garçon le jour ou il tira sur sa soeur. Prit d'un frémissement à l'évocation de ce cauchemard il s'avança rapidement jusqu'a la porte et entra dans la chambre... Les stores était baissé comme a leurs habitudes, mais il n'alluma pas la lumière et prit bien soin de fermé la porte a clé. Il attendit un moment que ses yeux s'habitue a l'obscurité puis s'avança... Elle était là étendu, son corps d'une blancheur mortelle semblait émettre une faible et pâle lueur. Tout comme Alice sous son arbre, elle semblait dormir paisiblement. Il s'assit sur une chaise a ses cotée et contempla son crime, puit il posa son chapelet sur la table de chevet et ce saisi du livre poussiéreux qui y était rangé... "Alice au pays des merveilles", c'était son conte favoris quant elle était petite. Il feuilleta les pages qu'il avait déja maintes et maintes fois parcouru et le reposa soigneusement à sa place. La jeune fille semblai sereine, en paix avec elle même. Un épais bandage lui recouvrait toujours le crâne, même si il n'y avait plus rien à cicatrisé. C'est lui qui obligeait les infirmières à lui refaire son bandage tous les jours, elles avaient renonçé a essayé de lui expliqué que cela ne servait plus a rien... Il posa sa tête entre ses mains et ce mit a lui raconté sa journée, de la vieille radasse de bibliothécaire qui l'avait viré aux derniers incidents de sa journée dans le métro. C'était une habitude qu'il avait prit, peut être quant lui parlant il la faisait existé un peu ou simplement avait il besoin de ce confier a quelqu'un, il ne le savait pas. Adossé a sa chaise il ressassait les éléments de cette journée fatiguante. Le vrombissement régulier des machines l'aida a ce laissé porté lentement dans une somnolence profonde. Endormit aux cotés de sa soeur dans cette salle hors du temps, il sombra dans un sommeil sans rêve...........

Hypérion était arriver chez lui, légèrement fatiguer il se reposa quelque instant, ses pensées était flou, il ne souhaitait que se vider l'esprit. Il rangea et prépara toute ses affaires, mais il lui restait du temps à tuer: (j’appellerai pour me faire remplacer demain il est trop tard désormais... J'ai envie de prendre l'air.) Cela arrivait souvent, dans ses instants de liberté Hipérion partait en moto sans direction précise, il se retrouvait souvent dans des lieu inconnu et étrange, il rentrai fréquemment très tard de nuit le réservoir presque à sec... et au bout d'un moment il tombât sans sans rendre compte dans cet terrible ruelle... Les lampadaire était démolie et il ne s'éclairait que de temps en temps en grésillent, autre fois c'était un passage très utiliser mais plus personne n'ose l'emprunter, toute les taches de sang n'avait pas put être enlever et le lieu est tomber en ruine progressivement. Hypérion contempla ce sordide endroit qu'y semblait être maudit à jamais; il jeta un regard sur les paver, il cru l'apercevoir... Mais fut pris d'une violente migraine cet terrible douleur le mettait dans une rage folle et semblait s'entifler. Il chuta de la moto et perdu connaissance.

@ Jewel:

Après ta charmante discussion avec le non moins charmant officier et l'échange d'adresses mail celui-ci doit repartir un peu brutalement appellé pour une guerre de gang. Tu le vois te dire très poliment au revoir et te dire qu'il souhaiterais te revoir quand il ne travaillerais pas, pour quelques cours d'informatique ou....Pour boire un verre. Puis d'un clin d'oeil avec un sopurire révélant sa dentition immaculée et quasi parfaite malgré une ou deux dents en mauvais état comme celle des fumeurs il repart plutôt rapidement, sirène et gyrophare fendant le noir et le silence naissant. Comme un cri de rage dans la nuit. Tu es desormais devant le perron de ta maison, il n'y a pas grand monde dans ta ruelle... A part les feuilles humides décrochées par l'automne arrivant bien sûr...

@ Rom's:

Tu t'endors paisiblement si on peut dire ça ...Malgré le bruit et l'inconfort de ton lit tu parviens a te reposer. Soudain tu es tiré de ton sommeil par une main te remuant délicatement l'épaule. Quand tu ouvres les yeux tu vois une femme d'une cinquantaine d'année en tenue d'infirmière qui te regarde derrière ses grosses lunettes. Elle es trondouillarde, pas vraiment belle mais te regarde avec une mine gentille:

"Monsieur? Monsieur! Reveillez-vous!"

Tu l'as déja vu...en y réfléchissant rapidement tu te rends compte que cette dame tu ne l'as vue que dans ce service, et jamais ailleurs. Tu lui a même déja parlé mais très rapidement, rien de plus que bonjour, ou au revoir. Mais jamais autre chose. Tu te souviens aussi qu'elle est très attachée au gens de ce service, tu te rends compte que celle que tu avais entendu parler des malades de ce service de très belle façon n'était autre qu'elle.

@ Thanatos:

Tu chutes lourdement sur le sol et tu emerges quelques temps plus tard. En ouvrant les yeux tu comprend ton état.Ton casque t'as évité le pire et tu semble être tombé dans quelque chose de plutôt mou.Mais même en ouvrant les yeux tu vois que c'est encore noir. Tu entends des voix rire dehors. Dans un éclair de génie, tu te lève et pousse doucement la plaque au-dessus de toi et tu comprend. Les brumes de l'accident ton fait perdre un peu de capacité de reflexion mais tu viens de percuter que tu étais rentré dans une poubelle et que maintenant tu t'y trouvais. Quand tu sors tu vois trois jeunes, à leur style ce sont des gangstas, qui te regarde et commencent, enfin continue de se fouttre de toi, en tournant la tête tu vois le troisième jouant avec des clés et tournant autour de ta moto remise sur sa béquille, apparemment il la trouve chouette.

@Anthéus:

Liseron est littéralement Mystifié par ton explication quant à ton don. Et il arbore un grand sourire radieux quand tu lui parles que tu sens des gens qui ne sont pas. Que personne ne voit, pas même toi. D'ailleurs tu ne sais même pas si ce sont des gens. Tu sens juste une présence. En plus ta façon spéciale de t'exprimer le charme complètement. Puis, quand tu te met à lui parler de l'épisode de ton père il s'assoit au fin fond de son fauteuil et t'écoute, son sourire a cette fois disparu d'un coup et les mains jointes il t'écoute avec tout autant de sérieux. Et il ne répond même pas a ton soliloque sur Djull et sa nature humaine douteuse. Puis quand tu parles de la fillette sur la photo. Il se remet dans sa première position, posant ses coudes sur son bureau, son menton posé dans la paume de sa main droite il te regarde avec un sourire agréable:

"Non Parthéus, on est pas obligé par la loi de faire ça. Je te rassure...Mais par contre je ne peut pas honnêtement dire que tu es normal. Tu ne l'est pas . Tu est autre...Tu est différent...Tu as un don...Un don exceptionnel...Et un don qui te sera très utile demain...Si cette histoire et bien telle que je le crois. Et pour ce qui est de tes parents je te propose un marché: si tu m'aides demain et que tu ne parles de ton don a personne, pour l'instant du moins, je fais en sorte que tu n'es pas a retourner voir tes parents. Tu es d'accord? Et la petite fille, si tu acceptes de venir avec moi ce soir tu la verras. Ce n'est pas ma soeur. C'est ma fille. Elle et ma femme seront là ce soir, mais ma femme ne croit pas qu'il existe des gens comme toi, et je lui ai promis de ne plus lui en parler. Alors. Ca te dit ? Et pour le marché?"

Hypérion retrouve donc ses esprits, et tente de dissiper peut à peut le flou qui l'assomme, il fini par voir claire et comprend vite dans quelle situation il se trouve, ces jeunes ne sont pas des anges, et il n'est pas dans une très bonne posture; il les regarde rapidement et un flash violent lui vient : Ils... Leurs... Ressemble!!!! La voie était insolite et semblait se répéter à l’infinie ; totalement dénuer d’un aspect humain. Une douleur comme une perceuse sur la tempe, lui force à prendre sa tète entre ses mains. Hipérion se rend ensuite compte se sont propre état, ses vêtements dégrader et sale, soudain un nouveau flash le harcèle: Tu... en est... encore... recouvert.... du saaa.... aaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!! Hypérion poussa un hurlement terrifiant pour redevenir maître de ses pensés, chaque mot prononcer ressemblait à un grincement, comme si des séismes perturbait l'environnement et que des ondes de choc traversait chacun de ces réseaux neuronaux infligeant des douleurs inhumaines, qui le firent tomber à genou. Les jeunes ne le quittaient plus des yeux, pensaient t'ils qu'il était fou??? Ou bien instable??? Hipérion se releva et malgré la situation agie comme il le faisait toujours, il se dirigea difficilement vers la moto et demanda poliment au hommes; si il pouvait s'écartés pour qu'il puisse la récupérer et s'en aller, faisait mine que son passage dans la poubelle n'avait pas exister. Bien que la colère l'envahissait, il ne pouvait se montrer désagréable la peur de ses "migraines", lui dictait de partir au plus vite. (Même si une autre voix lui poussait à faire le contraire...)

Certes, Miss Jewel Krinkle (dont les deux autres prénoms étaient Pearl et Faith) était des plus déçue que Phil soit réquisitionné - un brin inquiète aussi - sur le terrain pour une histoire de gangs mais le charmant jeune homme voulait la revoir ! Une fois la voiture disparue, elle se permit une " mini-crise d'hystérie " jubilatoire et un rire donnant l'impression que son QI venait de baisser de 20 points. Ahem, d'accord, il restait cet affreux Liseron et ses idées farfelues ainsi que la bande de types louches de tout à l'heure, mais elle s'en foutait complètement ! Un grand blond baraqué voulait l'inviter à boire un verre ! Un dernier " EEEEE ! " joyeux et l'étudiante passa la porte de sa maison en sautillant et en affichant un grand sourire, mine des plus troublantes pour ses parents qui s'attendaient à la voir surgir avec des yeux rougis par les larmes...

Jewel P. F. s'expliqua, minimisa un maximum les dégâts et s'isola dans sa chambre avec sa môman pour parler du policier de tout à l'heure (et quoiqu'elle ait pu laisser croire, elle adorait les hommes en uniformes !). Maman était elle aussi très contente, sa fille n'étant pas le genre de demosielle qui multipliait les aventures amoureuses (ça, quand on passe sa vie devant des ordinateurs). Après donc un bon moment passé à parler " garçons ", la jeune femme alla se doucher et préparer de quoi partir " en vacances " une semaine entière... restait à attendre que ses cheveux sèchent, ce genre de choses... elle se mit à lire un épais volume traitant d'informatique...

[S'il manque un élément important pour faire avancer le RP, préviens-moi par MP ou MSN Mnementh ! Wink

]

Je lui répond tous de suite: "C'est ok, Anthéus garderat le secret et il vous suiverat!!". La simple idée de rencontrer cette fille m'emplis de joie et je souris, pour la deuxième fois de ma vie!!! Et cela en une seul journée!!!! Puis aprés mure reflexion je commencais à regréter ma décision hative: en effet que vais-je bien pouvoir dire à cette jeune fille qui m'est étrangère. Même si mon envie de la rencontrer et forte, une certaine crainte m'envhaissais: et si elle me prenait pour un fou comme tous les autres, ou alors si je lui faisait peur, pourais-je continuer à suporter ma vie. Je pris alors conscience que j'étais à un tournant de ma vie et selon la route que je suiverais, elle pourait s'embellir ou le contraire. La réaction de cette parfaite inconu jourat donc un role trés important pour moi et je ne suis pas sur que Liseron s'en rende compte!

Se réveillant en sursaut, et quelque peut géné par la situation il balbutia:

"...hein,je...quoi?!... hem,désolé je crois que je me suis assoupi. Auriez vous l'heure svp ?"

Tout en déblatérant les premiere anneries qui lui venait à la tête il se saisit de son chapelet sur la table de chevet. Il se leva contempla sa soeur puit la porte. Et se tourna vere l'infirmiere mais trop géné n'osa la regardé en face.

@Thanatos:

Alors que tu titubes, les jeunes rigolent a gorge déployée. Ils te regardent marcher sans rien faire puis se rapprochent lentement de toi quant tu arrive vers ta moto. Quand tu leur demande avec toute la politesse possible de te laisser repartir ce lui qui fait sauter les clés dans sa main te regarde d'un air amusé et te dis:

"Allons allons! Mec! On va pas laisser un bijou comme c'te bécane dans tes paluches ! T'as vu comment tu conduis ? C'est un crime de te laisser ça !"

Puis les trois rient, celui qui tient les clés les fait toujours sauter dans sa main, et s'arrête de rire presque dès qu'il a commencé, il te regarde d'un air de défi, comme si tu pouvais toujours tenter de reprendre ton bien, mais que pour ça, il faudrait le meriter ...

@Jewel:

Ta soirée est assez tranquille, les heures s'écoulent lentement au même rythme que les quelques gouttes encore prisonières de tes cheveux colorés. Alors que tu bouquine sagement, une petite sonnerie électronique retentit, en baissant ton livre, tu vois que quelqu'un te contacte sur ton logiciel de messagerie instantanée. C'est le jeune hacker que tu fréquente, via le net du moins...:

<Hacking_is_a_way_of_life> Yo JPF
<Hacking_is_a_way_of_life> Ca va ?

@Cailloux:

William te regarde souris encore une fois, attrape le cadre que tu regardais et soupire en admirant la petite fille. D'un geste délicat il effleure le verre et prend un grand sourire. Puis il dépose une bise sur le cadre et le repose. Puis il te regarde:

"Bon...Tu veux qu'on passe te prendre des affaires dans un magasin avant? Il faut que tu sois présentable si je te la présente . Puis tu seras un peu son grand frêre...Je te fais confiance Anhtéus..."

@Romain:

L'infirmière te regarde d'un air attendri puis commence a te parler:

"Ne vous inquiétez pas. Je ne vais pas vous chasser. Je trouve ça très bien ce que vous faites pour cette jeune fille. Vous êtes de sa famille? Il n'y a pas grand mnde dans cette partie de l'hôpital, je dois bien être la seule a encore y passer tout mon temps...Mais voyez-vous, il n'y a qu'ici que je trouve que mon métier a du sens... Enfin...Au fait, je suis Rosie Mc Buty...Je suis l'infirmière chef de ce service..."

"Euh Antéhus vous rejoindrat demain, il aimerais faire quelque chose avant." Puis je me dirige chez moi, à l'heure qu'il est, il n'y auras personne à la maison. Une fois sur place, je vérifie mon hypothèse si il n'y à persone je récupère les clef qui sont sous une pierre (Je l'ai volé il y a lontemps et planqué ici, en effet en jour je me suis retrouvé enfermé toute la nuits dehors donc je ne voulais plus que cela se reproduise.)Sinon j'attend trés tard dans la nuit et je rentre par la lucarne de ma chambre qui se trouve au raz du sol (en effet la chambre se trouve au sous-sol), elle serat ouverte car le loquet est cassédepuis déja trois ans, d'ailleurs à cause de ça, j'attrape souvent froid durant l'hiver.
Une fois à l'intérieur, je prend une douche, met mes plus beau vêtement: un sweat à capuche rouge tous simple et sans trous, un jean large, noir et un peu trop grand. Ensuite je prend mon sac à dos ou j'y foure des fringues, une lampe torche, un petit duvet et la nouriture pour Djull, c'est trés important il ne faut surtout pas qu'elle est faim!!! Puis j'attrape mes dague. Ce son deux tige de métal que j'ai limé et aiguisé. Pour la poigné je me suis servis d'une vieille chambre à air. Elles sont toutes les deux dans un foureau attachés à une espéce de sangle que j'ai cousut de sorte qu'en la portant, les dagues se trouve sous mes homoplate, la pointe vers le haut. Ainsi je peut les saisir facilement et porteé sous les vêtements elle ne se voit pas. Je vais ensuite dans la cuisine et récpère toute mon insuline et je pique même de la bouffe, des truc simple et transportable. Je me le permet car au plus profond de moi, je me dis que plus jamais je reviendrais ici ni ne Les veraient, eux qui on fait de ma vie un enfer. Pouir finir je vais dans le salon et prend la petite boite qui se trouve sur l'armoir et je prend tous les sous qu'elle contient sans éprouver le moindre remord. J'ai surprit mon pére un jour alors qu'il y mettait des billets pour acheter ses bouteilles. Je sort ensuite et je claque la porte le plus fort possible (tant pis si mes parents étaient là, au contraire, c'est à toi de voir Clém) puis en bas du peron je cris à m'en cassé là voix: "Toi qui fut l'antre de mes soufrances, j'éspère ne plus jamais te revoir et je te maudit toi et tes propriétaires!!!!"
Je pars alors en courant et déambule dans les rues jusqu'au lendemain matin. Une nouvelle vie commence pour moi et je viens de me séparer du poid qui pesait sur mes épaules, je suis enfin libre.

Hypérion entendit les paroles, et tenta de s'approcher pour récupérer dans les mains de cet hommes ses clés, un flou l'enveloppa, sa vue ainsi que son ouie commencèrent à s'estomper il voyait les clés et sa main se tendre pour la récupérer, il ne sentait déjà plus son corps; des messages imperceptible lui traversait les songes: Justice...Colère... d'un ton grésillant... Il ne manque plus qu'une chose, la main d'Hypérion deviens soudainement plus puissante et saisi le bras de l'homme... Mes clés je te prix , il ne vacillait plus et sa voix était clair et limpide, forte et direct. La main serrait lourdement le bras du jeune, mais ce n'était pas pour se retenir de tomber, seulement pour le lui broyer... Le désir de récupérer les clés d'un tas de chair fumant lui traversa l'esprit. Ce n'était plus Hypérion... Mais ce n'était pas encore quelqu'un d'autre, il manque encore une chose...Et la voix deviens plus perceptible: Laisse moi faire, encore une fois, laisse moi éliminer les obstacles sur ton chemin... Laisse son souvenir nous guider.
P.S Donc pour mes fiche de perso, tu n'a qu'a la faire toi pour l'instant, et pour ma deuxième personnalité, je veut évidement qu'elle soit l'inverse d'Hypérion, tout dans la force et la résistance. Enfin si sa te dérange pas, mais sa serai vraiment mieux. Stp clem!!!!!!! Je sais que je te force un peut la main excuse moi en.

Plongée dans un roman à l'eau de rose - conséquence de la rencontre avec Phil, Jewel ne réagit pas immédiatemment à l'inélégant petit bruit produit par son logiciel de messagerie. Lorsqu'enfin elle tilta, elle lâcha presque son livre des mains en poussant un cri de surprise et en plongeant littéralement vers son ordinateur.

* Ca tombe bien, je voulais le voir lui ! *

La jeune femme posa son bouquin près d'elle, un morceau de papier quelconque glissé dedans en guise de marque-page. Elle se mit à pianoter rapidement sur le clavier : pas de temps à perdre, deux-trois formules de politesse et envoyons la question !

<JPF> Hey, salut ! Ouais, j'vais bien, mais écoute, j'ai pas énormément de temps devant moi alors je vais aller droit au but : t'as déjà fouiné dans les dossiers de la police de Boston ou ce genre de trucs ? J'suis sur une affiare, comme, des problèmes avec l'un d'entres eux, un gradé en plus ! Donc en gros, j'aimerais bien savoir si " William Liseron " ça te dit quelque chose ? Ou si tu peux pas me trouver un truc, disons, vite-fait ? J'veux die, ce mec est louche, j'aime pas sa façon de me regarder...

Un peu de baratin concernant le comportement de l'inspecteur Liseron ne ferait sûrement pas de mal, après tout, ça motiverait sans doute ce cher garçon pour entamer des recherches si Jewel était menacée...

@ anthéus, petit stand-by...désolé:

@Thanatos:

Alors que tu tiens le bras de ton voisin, tu entends les deux autres qui se pressent derrière toi pour t'aggripper, mais malheureusement pour eux, si leur determination est grande, leur coopération un peu moins. Il s'emmelent les mains en voulant te saisir et rate leur coup. Pendnat se temps, tu serre fortement le bras de ton adversaire qui bizarrement, semble perdre contenance. Il perde son regard menaçant et arrête de faire sauter les clés dans sa main. Il te dit d'une voix peu assurée:

"L...Lâche moi mec! Tu Tu sais pas qui j'suis! Connard !"

(Salaud de chanceux! Tu me le paieras)

@Jewel:

Ton contact te répond assez rapidement de la façon suivante. Comme a son habitude, ses réponses dne se font guère attendre. Mais malheureusement pour cette fois, il n'y a pas grand chose a faire pour toi. Il te réponds:

<Hacking_is_a_way_of_life> Attend je te cherche ça ...
<Hacking_is_a_way_of_life>...
<Hacking_is_a_way_of_life> Shit...Putain j'ai pas réussi a craquer la sécu...
<Hacking_is_a_way_of_life>Désolé JPF, j'reviens d'une LAN de 48h00, j'suis un peu crevé...
<Hacking_is_a_way_of_life> Sorry, je vais devoir te laisser te débrouiller seule sur ce coup...

(Tu peux toujours chercher par toi-même si tu te sens capable...)

@Roms:

En attente de réponse.

Je suis droit face à cet homme qui a enfin cesser de rire je ne lâche pas son bras droit, et je récupère dans son autre mains les clés de ma moto, je lui pousse un sourire sadique a en donner l'illusion d'être un démon; grâce aux ombre qui transforme légèrement mon visage, une fois les clé en ma possession je l'écarte de mon chemin, en l'attrapant par le col, (je n'est toujours pas encore atteint ma deuxième personnalité, il manque quelque chose, mais, je suis en transition entre mes deux feuille de perso donc...) puis je le soulève du sol pour le projeter sur ses camarade. Si je réussi et que je les déstabilise, j'enfourche ma moto la fait ronfler un peut, et m'en vais de ce lieu. Sinon si il se prépare au combat je me met en position, droit les bras le long du corps, le visage pencher un sourire terrifiant, et les yeux plisser, observant mes ennemis attendant qu'il m'apporte la touche final... Avant de la leur rendre.

L'amabilité de cette infirmiere le frappa. Il se détendit légerement encor étourdi par son réveil trop brusque puis ajouta:

"Je vous remerci...Il y'a des jours ou je me sent seul, j'ai l'impression que tout le monde la abandonné et que tous veule l'oublié, mais pourtant je suis sur qu'elle va revenir, il faut juste lui laissé du temps...je.. Je croyai qu'il n'y avait peronne afecté a temps plein a se service, tout est tellement vide dans cette partie de l'hopitale... en tous cas je vous remerci..."

Un élan de compassion le submergea, chose auquel il n'était pas du tout habitué. Il ne savait comment l'exprimé alors il balançait comme elle venait les idées qui lui passait par la tete. Puis embarrassé de cette situation il se rappella le rendez vous que Liseron avait fixé. Pour échappé a ses émotions il décida de s'en allé:

"...Je suis désolé..on m'attend... je..je doit y allé"

Il se précipita en dehors de la salle et sorti de l'hopital sans se retourner. Fuire était un bon moyen pour lui d' échappé a lui même et a ses propres souffrances. Il attrapa le premier taxi et se rendi a son apparte pour récupéré quelques affaires...

* Pfff... encore un homme sur qui on ne peut pas compter ! Je vais le faire moi-même. *

La jeune femme commença par se mettre dans une ambience plus propice à l'attaque d'un tas de données : elle tira les rideaux, ferma sa porte à clé et éteignit toutes les lumières en dehors de celle de la lampe sur son bureau. Jewel prépara une sélection musicale : dub, electro, techno... Elle était parée ! Dernières réflexions, le pouce en bouche.

* C'est sans doute pas rien les ordinateurs de la police de Boston, je vais devoir me donner à fond ! *

Jewel changea même de fond d'écran pour adopter quelque chose de plus " matrixien ". Elle prit une grande inspiration et garda les yeux fermés pendant un instant. Elle était biend éterminée à trouver des trucs ! Une fois qu'elle fut prête, elle se lança donc dans le piratage du matériel de la police locale...

(Bon alors je vous met en stand by quelques jours, je suis désolé mais cette semaine je ne pourrais pas passer ni ce week-end donc je m'excuse d'avance, il ne reste que le passag avec Hyperion a faire et on reprend le RP j'essaierai de regler ça par msn)

(Ca y est, ça reprend)(Rom's si tu veux faire une action précise chez toi précise le dans ta réponse, )

Alors vous arrivez tous par vos propres moyens à l'adresse indiquées. Plus ou moins à l'heure, et en plus ou moins bonnes condition. En fait, la seule à peu près à l'heure, c'est bien Jewel. Acceuillie par un regard neutre mais sans son exhubérante chaleur. Il attend assis sur les marches du perron de la maison dont l'adresse est indiquée, adossée au muret qui borde les marches. L'adresse vous a mener dans des quartier résidentiels plutôt agréables avec ces maisons des grandes villes comme nous montrent les clichés cinématographiques, la maison est jolie, et bien qu'elle ne diffère pas des autres maisons du quartier, elle semble acceuillante, contrairement à ce qu'on voit dans les films. Elle est assez spacieuse, et bien entretenue, des fleurs ornent même les fenêtres.

@Jewel:

Quand tu arrives, Liseron te souris gentilment certes, et avec sincérité, mais tu sens que tes piques à répétition de la précédente entrevue ne sont pas encore oubliées. Il te regarde arriver avec une touche d'amusement tellement ton moyen de transport et original dans ce genre de villes. Il te dit en te serrant délicatement la main:

"Mademoiselle...Bienvenue dans votre maison de vacances, je ne vous fait pas entrer, les autres convives ne sont pas encore là."

Mais il ne te faut pas attendre plus de quelques minutes pour voir arriver le deuxième personnage qui t'accompagnera dans ces étranges "vacances".

@ Simon :

Un peu à la bourre, tu arrive chez le policier, ton air froid te permet de ne recevoir qu'un bonsoir classique, formel même, avec une poignée de main qui ressemble plus à celle que l'on fait à un collègue de travail qu'a un ami. Il te désigne la maison du pouce par-dessus son épaule et te dit avec un sourire qui étire ses lèvres et annonce une de ses si savoureuses blague façon série B:

"Bienvenu au club Med! Je suis William votre animateur! Mais appellez moi Will'!"

Bien évidemment, celle si ne risque pas de vous arracher un sourire, et d'un air un tantinet géné, il vous souris, vous pouvez presque voi rune énorme goutte lui perler au front comme dans les mangas japonais. Alors que tu crains le pire, un silence lourd pèse jusqu'a l'arrivée du troisième compère, deux bonnes dizaines de minutes après.

@ Thanatos:

Tu arive en grimaçant au rendez-vous, en retard de trois quart-d'heures et blanc comme un linge, avec une légère envie de vomir. Liseron te souhaite un bonjour amical que les autres n'ont pas eu. Puis à la lueur d'un lampadaire celui-ci a une mine très étonnée en te voyant, se décalant pour ne pas te faire d'ombre il te regarde dans la pâle lueur du lampadaire le plus proche:

"Vous allez bien? Vous êtes tout pâle! Il vous est arrivé quelque chose ? Vous semblez avoir très mal!"

Liseron semble très inquiet, et celui-ci te cuisine, Mais seules quelques secondes s'écoule avant qu'une jeune femme apparaisse à la porte. Elle porte ces longues coiffures de cheveux bruns et bouclés des héroïnes des séries tels que Miami vice, ou deux flics à Chicago et un tablier ornée d'un slogan extrait d'une chanson des seventies bien connue. Sur ce point elle s'accorde parfaitement avec l'inspecteur. Après quelques instants, une petite fille en pyjama rose arrive en se frottant les yeux. William se précipite sur elle et la prend dans ses bras, la couvrant de multiples baisers et de surnom ridicules. Puis vous regardant il vous réponds d'un air triomphal:

"Je vous présente Carie! Ma fille! Elle est pas meugnone? Un vrai pitit amouuuur ouh oui! On en mangerai hein! On en mangerai! Oh oui! Oh ça oui oulalalalalaaaaaa"

Puis la femme à ses côté lui reprend la jeune enfant des mains en le menaçant avec le doigt et un sourire complice:

"tutututut! Je penses que ces mesieurs dames attendent une explication!"

Triste à mourir d'avoir lâché la gamine Liseron vous regarde et vous désigne de la main en s'inclinant la jeune femme qui vient de parler:

"Et voila ma femme, Sonia! Bienvenus chez les Liserons. J'aurais préféré vous fournir une autre planque, mais elles étaient toute occupées. D'étranges affaires nous solicitent et nous avons besoins de planques sûres. Donc, bienvenus, de plus celle si fait partie du programme Witsec. Entrez, et j'espère que vous avez faim!"

Sur ce vous entrez dans la maison...Qui est en tout point opposée à ce à quoi l'on pouvait s'attendre: profusion de lampes à magma, Affiches de différentes séries télés des seventies, notamment policières, placardées au mur, maquettes de ces mêmes séries, photos dédicacées, photos de la jeune carie, et des tables basses et autres canapés en preskaï, et autres seventicités... Une table est dréssée avec le bon nombre de couverts, et madame Liseron vous invite à passer à table avec un sourire chaleureux tandis que l'inspecteur semble soucieux, et fini par vous rejoindre...

En jeune femme bien élevée et sachant se maîtriser, Jewel salua poliment l'inspecteur Liseron sans laisser paraître un seul instant son mépris pour le policier, elle n'avait par contre pas un sens de l'auto-dérision suffisament dévelopé pour pouvoir blaguer au sujet de son moyen de transport, pourtant le parfait cliché de la demoiselle à Rome. Et c'était sans compter le casque bol de couleur rouge, indispensable accesoire de toute conductrice de vespa également rouge.

Tandis qu'arrivait un à un ses compagnons de galère, Jewel trouva une "chouette place" où laisser reposer son véhicule, bien que le quartier ne devait pas être emplis de voleurs et autres délinquants.

La suite chamboula quelques peu la... disons-le franchement, la geek : elle ne pensait pas que William Liseron pouvait être aussi gaga avec sa fille, c'en était attendrissant. Et l'officier de police s'attira un peu de sympathie de la part de Jewel, qui s'empressa de saluer Madame Liseron avec un sourire ravi : elle ne serait finalement pas la seule représentante de la gent féminine ! Même en n'ayant aucune propension particulière à apprécier la compagnie des mères autre que la sienne, elle était à ce point soulagée qu'elle se sentait prête à parler d'enfants avec cette dame, quitte à devoir paraître pour ces messieurs quelques peu... autre que ce qu'elle était. Il y avait peut-être juste l'impression de "bond temporel" qui la dérangeait. Elle qui vivait à l'ère de l'informatique, se retrouver plongée dans un univers rappelant une "période préhistorique" était assez troublant. Mais avec de la chance, elle pourrait avoir accès à l'Internet depuis la maison en utilisant son ordinateur.

Pour le moment toutefois, elle était surtout impatiente de connaître la composition du repas du soir...

Hrpj: Bon qu'est-ce que vous foutez les gas!!!!! Vous êtes en grèves ou quoi?? Pour l'instant je peux rien mettre parceque je vais arriver plus tard dans la soirée.
Allez on se bouge!

Encore dans le flou, je suis rassurer qu'il arret de me tourner autour pour s'occuper de sa fille, je ne me montre pas impolie mais je reste à l'écart pour dissimuler au mieu ma blessure, je parle juste ce qu'il faut pour ne pas ètre déranger pas des questions, et si ils insiste je sort un charabia médical ennuyeux à mourrir, pour les embrouiller et leur faire comprendre que ce n'est que passager et que sa va passer, dans le but d'ètre tranquille je me join à eux pour le repas, mais dès que l'occasion se présente je me retire et m'isole au possible. Et si l'inspecteur souhaite nous entretenir encore, j'essai de le convaincre de repousser sa au lendeman prétextant que tous le monde à eu une journer difficile et qu'il ne vaut mieu pas tout révéler subitement, on sera tous plus ouvert après une bonne nuit de repos salvateur. Si il refuse je n'insite pas je m'assoi le plus confortablement possible, pour que ma blessure ne me gène pas, et je tente de garder l'esprit ouvert.

Attention pétage de cable:

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
pourquoi ça avance pas!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
bougez vous bougez vous bougez vous!!!!!!!!

Bon, j'attends encore un peu que rom's se pointe et sinon bah on fera sans lui ...Dommage...

(Bon je fais avancer, je previendrais rom's)

Vous vous posez donc tous à table, et après une demi-dizaine de minutes vous voyez Madame Liseron ressortir de sa cuisine, un énorme plat dans les mains, avant qu'il ai pu se faufiler discrètement dans la chambre de sa fille qui était entre temps retourné se coucher Sonia rappelle son inspecteur de mari pour l'aider à apporter le reste. Le menu est copieux sans être un repas de fête et la cuisine bien que simple, est délicieuse. le moindre fumet met l'eau à la bouche. Le menu? En entrée une classique salade, ensuite un poulet avec un gratin de pomme de terre et, bizarrerie en ce pays , du fromage et enfin un dessert blanc et solide que votre hôte nomme fromage blanc. Devant vos visages étonnés, William prend la parole et vous livre le secret:

"Oui, je penses que ce genre de nourriture vous surprend un peu, c'est que ma femme s'est récemment mise à la cuisine françase. Ca ne vaut pas un bon steack ou un généreux hamburger, mais c'est tout de même très bon... Quand on oublie les grenouilles..."

Dit-il tout en jettant un regard légeremment accusateur à sa femme qui sourit d'un air qui semble être plus proche d'un sarcasme que d'une gêne. Après cela, où vous avez parlé de choses et d'autres, tandis que l'inspecteur et sa femme vous revelaient leurs apétits notables et la différence entre la grâce de Sonia et le côté moins...raffiné de William. une fois le repas fini, William vous laissent patienter dans le salon tandis qu'il va aider sa femme pour débarasser la vaisselle. Il est environ minuit mine de rien... Quand soudain, tirant tout le monde de sa torpeur digestive, implacable, determiné, le monstre rugit. Et William cours pour le décrocher avant qu'il ne reveille tout le voisinage par sa sonnerie de Hawaï police d'état

"Allô? Oh....oui...J'arrive! Ne bouges pas!"

Et sans un mot de plus, vous voyez votre hôte de policier partir, et il faut bien compter une heure avant qu'il vous rejoigne de nouveau, mais quand il rentre, cette fois, il n'est pas seul, vous reconnaissez Anthéus, le petit autiste qui arrive au côtés de Liseron qui d'une tape amicale le pousse vers vous, entre temps, Jewel, Sonia a jeté son grappin sur toi, et innocemment et très gentilment elle commence a te demande ce que tu fais dans la vie, te préviens qu'il faudra t'accrocher avec tous ses hommes, te pose des questions banales sur toi, si tu as un petit ami, quels études tu suis, etc...:

"Malheureusement Carie est au lit,mais tu la verras demain! Messieurs dames! Avez-vous des questions où voulez vous que nous allions nous coucher ? Il se fait tard mine de rien!"