Pour Karak Zarn!!!!!!!

Hummm pas trés frais cette part de tourte.Elle passeras mieux ac un peu de vin.Sur ces paroles il enfila comme le goinfre qu'il était la part de tourte et bu une gorgée de vin pr la faire passer.
Il se leva ou plutot se laissa tomber du tabouret qd il vit thanatos aider notre soulard à grimper les escaliers sans descendre plus de marche qu'il n'en aurait monté.Il décida de foullié le corps du bourgeois qui n'avait pas été repeint aux couleurs de l'estomac du soulard.Aprés avoir foullié le corps il se dirigea vers l'étable pr nourrir son fougeux poney

Tandis que ces compagnons vacquèrent a leurs occupation, il retourna sont atention vers le bar. Il observa la douce valse des choppes qui danssant alègrement en des vas et viens incessant entre le comptoire et le tonneau. Prenant sont aire le plus faussement intérèssé, il interpella le barman et dès que celui-ci eut le temps de s'occupé de lui il lui demanda:

"Je vois que le métier de barman est passionnant, mais auss que vous avez l'aire bien occupé, je suis sur que vous n'avez pas de temps a vous consacré. Je peux vous proposé mes services, je suis Ratier et contre le gîte et le couvert pour deux jours, je veux bien mettre a votre disposition mes services. Les rats sont les signe de mauvais entretient, vous imaginez le scandale que cela ferait si on retrouvait dans votre auberge des rats morts!!!! songez-y."

Comme il le savait, l'art de vendre ses services passait avant tout par l'art de l'éloquence. Et puis si il n'acceptait pas sa proposition, il possédait toujours quelque rats qui trainaient au fond d'un sac, cela peut toujours servir. Les meilleurs clients des tavernes détestant souvant la crasse, imaginé le scandale si il ce retrouvait avec un rats morts sur sa chaise au moment de s'asseoire... Tout en attendant la réponse du barman, il observa la salle pour voir justement si un ou deux client et surtout clientes n'était pas potentiellement phobique des rats...

Le barman arrétat le chasseur de prime: "Ohla l'ami! va faire décuver ton camarade dans la porcherie, je veux pas qui salisse mes chambre!". Le chasseur de prime conduisit alors Dargo dans ca futur chambre qu'il partagerait avec les cochons.
Il ensuite interpelé par un jeune homme sentant la vermine. Aprés l'avoir écouté il le pris par l'épaule et la tirat vers lui "Moins fort l'ami!" lui chuchota-t-il "J'ais bien ququ'chose pour toi, suis-moi." puis s'adressant à une serveuse: "Hanna occupes toi du bar cinq minutes!". Il dessendirent alors dans la cave là le barman reprit: "J'ais une famille de rat qui se sert dans mes réserves donc si t'es efficace et discret j'veux bien vous offrir le gite et le couvert à toi et tes camarades durant votre séjour à Krugenheim." Aprés avoir accepté l'offre, le ratier posat ses quatre collets et ils remontérent tous les deux. Une fois arrivé ds la salle commune il virent la chasseur de prime qui revenait de la porcherie. "Eh mon gas!! Lui cria le barman.Viens ici j'vais vous montrer vos chambre, on s'est arrangé avec ton pote." Ils les installat alors à l'étage, chacun dans une chambre.
Pendant se temps là, Malkor s'activait à rassembler quelques équipements sommaires (des atours de noble, une bourse contenant 20 Co, une veste et des jambière de cuir, une rapière et une main gauche) laissant anisi leurs propriétaire en sous-vêtements au beau milieu de la salle et allat à l'étable ou il s'endormit au coté de son fidèle compagnon le poney.
Quant au spadassin, il avait passait sa soiré à boir et ne bougat pas de sa table, il finit par s'endormir avant même que Drago lancat sa bouteille.

Retournant derrière son bar, le barman jetat un coups d'oeil sur ca salle qui aviat etait desèrter par les clients (à l'exepiton dans plochtron qui dormait sur une table entouré de chopes, d'un homme allongé sur le sol et fort dévétu avec un son coté une troisième persone asspergé de vomit). Il soupirat: "Eh bein, quel soirée!!"

Le lendemain à l'aube, deux étranges voyageur entrèrent dans la taverne, il s'agissait de deux membres de la compagnies: une elfe mercenaire et un aprenti sorcier elfique.
Le barman les interpellat: "Bien le bonjour membres du beau peuple, que puis-je pour vous?"
Puis ils furent vite rejoind par le dernier: un humain, executeur. (un bon gros barbare!!!)

Voyant que les deux autres ne se décidaient pas à avancer une réponse à l'aubergiste, elle s'avança vers le comptoire et répondit le plus glacialement possible:

"Si vous pouviez commencer par nous renseigner. Nous sommes à la recherche de nos compagnon, ils sont cinq dont un Halfing. Seriez vous par hasard où nous pouvons les trouver?"

Après un sommeil profond mais malheureusement, comme tout les lendemains de cuite, trop court, et gratifié d'une bonne vieille gueule de bois bien de chez nous, je sortais les yeux encore bouffis de sommeil de ce qui me semblait être...une porcherie...UNE PORCHERIE? A les ... Nom de DIEU DE NOM DE DIEU DE BORDEL DE PUTAIN DE MERDE D'ENCULE!!!! Cherchant rageusement la porte je ne gagnais que pateaugeage dans le purin et la boue puis, après une bonne vingtaine de minutes je retrovais finalement le chemin de l'auberge après m'être tellement mal débrouillé que je rentrais par la porte d'entrée. Arrivé en pestant j'accostais le barman, pas presque aggressif à part ça...agressif moi? Noooooooon:

"BARMAN! PUTAIN DE MERDE DE CHIOTTE! QUI C'EST QUI M'A FOUTU DANS CETTE PUTAIN DE PORCHERIE! T'AS VU LA TRONCHE DE MES FRINGUES! AMENES LES MOI C'EST ENFOIRES DE RAMASSEURS DE SAVONETTES DANS LES DOUCHES DE GARDES CHIOURME! NOM D'UN TONNEAU PERCE!"

Puis après avoir agréablement apostrophé le barman je lui demandais sur un on, encore enervé certe, mais plus poli:

"Dis moi. Y aurais pas moyen que tu me passes une bassine d'eau et du savon mon gars? J'aimerais bien me faire une beauté! Au fait, mes félicitations pour ton pinard! Pas d'la merde! Mais bon dieu qu'est-ce qu'il fait mal à la tronche!"

Ouais, faut reconnaitre que j'étais pas super poli, surtout quand je remarquai les deux nobles elfes entrés avant moi dans l'auberge, mais que vouslez-vous...J'avais la gueule d bois, j'avais pas pu aller à l'école, et ma femme m'avait foutu à la porte, j'étais crasseux pire qu'un mendiant et j'avais été balancé dans une porcherie...J'avais des raisons d'être enervé non? Puis, en regardant de plus près, je n'osais pas trop regarder les elfes, surtout eux qui avaient l'air impérieux et nobles. Je me sentais un peu pitoyable. Ce n'étais pas comme avec les deux bourgeois d'hier, et puis eux ne s'amusais pas a se gifler avec des gants...Mais...je les connaissait pas déja des fois? Clap ting! Si! Rah il semblent ne pas m'avoir rconnu, tant mieu, avec la gueule que j'ai...C'est la honte! Quand j'aurais pris mon bain, et lavé mes frusques, je les saluerias, pour l'instant je me contentais d'un rapid geste de la main, qui malheureusement, je m'en aperçu après coup, risquais de me trahir car ce signe m'étais propore...

Alors que j'attendais la réponse de ce cher aubergiste crasseux nous fûmes interrompus par l'intervention d'un autre spécimen encore plus pitoyable et c'est peu de le dire. Non content de nous avoir dérangé par ces propos grossiers et cette odeur pestilentielle qui était accrochée à ce qui lui servait de parure, il ne semblait même pas avoir remarqué son manque de courtoisie.

*Ces humains...*

Tiens on dirait qu'il a enfin remarqué qu'il n'était pas le seul. Ouha quelle odeur, c'est infecte...

*Comment peut-on réussir à supporter ça? J'en ai la nausée.*

Maintenant il nous fait signe... Mais je le connais cet abruti... Non cela ne peux pas être lui...

"DRAGO?" dis-je surprise.

Eh merde...Reconnu...Rah chiotte. Bon, l'air de rien, limite sifflotant je sortis de la'auberge dans la cour ou je dis à l'aubergiste d'amener le baquet d'eau. Je sortis le plus vite possible, mais sans courir, pour faire celui qui n'as pas entendu. Passera, passera pas? Bah on verra. Toujours est-il que je sortit et attendit que l'aubergiste me donne ce que j'vaais demandé, et que je puisse me laver, moi et mes vêtements...

Matinal comme a son habitude il émergeat lentement de sa torpeur. Levant une paupière puis l'autre, mais celle ci étaient irrémédiablement entrainé par les forces de l'attraction. Voyant qu'il ne pouvait lutté contre une telle force, il abandonna et ce laissa avahir par la quiétude d'une bonne grasse matinée. En espérant se relever à temps pour entendre chanter la chaire du coq sur le feu, et humer sa douce odeur apétissante. C'est sur ces douces pensé qu'il se rendormit...

Je me réveilla en sursaut qqn était entrain de foullié ds mon sac.
Par le sain chaudron vs n'aurez pas ma boustifaille!!
Ce n'était que Fringant mon poney,aussi je rangait ma dague ds son fourreau en voyant mon fidéle compagnon reculer
Ap m'être battu ac le foin qu'e j'avais ds les cheveux et sur les vêtements,je sortis deux miches de pain de mon sac,mon poney s'avança l'oiel fixé sur le pain.
Ms oui je n'allais pas te laisser mourrir de faim
Le poney engloutit une miche de pain pdt que j'engloutissait la mienne.
Ap ce petit déj plus que maigre je me dirigait vers la taverne,dvt la porte je bus une gorgée de vin pr me réveiller un peu la bouche avt d'entrer.

Voyant que l'individu en question ne se reconnaissait pas, je crut d'abbord m'être trompée sur la personne mais en prêtant plus attention à l'étrange personnage qui essayait de s'éclipsait, je n'eut plus de doute.

*Alors comme ça il essaye de nous éviter, et bien cela ne va pas se passer comme ça*

L'aubergiste qui n'avait pas jugé nécessaire de répondre à ma question puisque la réponse était entrer en hurlant cinq minutes auparavant, se dirigeait vers la sortie une bassine d'eau et une savonnette dans les mains. Lui prenant des mains le nécessaire de toilette, j'ajouta neutre.

"Laissez, je vais m'en occuper, on a des choses à se dire lui et moi..."

Il ne broncha pas une seconde et me céda les affaires, m'assurant que l'eau du bac était à bonne température (c'est à dire suffisament froide pour lui remettre les idées en place), je me dirigea vers la sortie d'un pas rapide et sur de moi. Une fois dehors je me glisse discrètement dans son dos :
(note du MJ: test de déplacement silencieux raté => Drago l'entend et se retourne)
N'ayant pas réussi à le surprendre, je lui jette malgrè tout le contenu de la bassine sur sa personne puis j'entreprend de lui faire avaler la savonette afin de laver cette bouche qui avait pu déblatérer autant de grossièreté. Punition accomplie, je le laisse seul pour qu'il termine de se débarasser de cette odeur nauséabonde en lui ordonnant de me rejoindre à l'intérieur dès qu'il en aurait terminé.

*Maintenant c'est au tour des autres...*

Petite note du MJ: dépéchez vous de vous levez les gars parce qu'elle est vachement décider à s'en charger!!!!!!!!!!

Ayant était témoin de cette scène le barman fut pris d'un léger fou-rire. Une fois que l'elfe réaparut, il n'attendit pas la question et lui indiquat directement la direction des chambres de ses compagnons!

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 21/10/2006

1er post alors si je debite des conneries ou des trucs Hs rappelé moi à l'ordre, mon perso est un humain nordique, carrière :mercenaire, pierre je te filerai la fiche de mon perso lundi.

"Araknos ayant était cloué au lit par une douleureuse colique ( ce sont des choses qui arrivent) il fut levée assez matinalement. Après avoir engloutit 3 miches de pain et en prenant soin de laisser note de son absence auprès de l'aubergiste, il se dirigea sans plus attendre vers la caserne la plus proche, à la recherche d'un travail à la hauteur de ses compétences. Un peu à court physiquement, il décida de s'y rendre en footing et pour être plus à l'aise otat sa chemise, ne gardant que sa hache à deux mains dans son dos, les passant pouvant ainsi aisaiment admiré sa musculature dévellopé."

bon si il m'arrive rien jusque la bas je cherche de rechef un job, autrement dit une personne à executer Wink

Trop occuppé a me faire discret, dont ma performance d'acteur était à la hauteur d'un ogre voulant se faire passer pour un nourisson boutonneux, je fût rapidement rattrapé par l'elfe que j'essayais d'esquiver. Mes sens encore embrumé par ma nuit trop courte et mon reveil trop vif, je ne pût resister à l'assaut de la mercenaire. Et c'est ainsi que je me retrouvais trempé avec la bouche savonnée. Crachant le savon dans ma main pour liberer ma bouche je crachais le savon par terre, pestant entre mes dents, marmonants des râlements mécontents. Une fois qu'elle fût suffisament éloigné je me permis des grossierté à voix haute, mais sans hurler, et sans autant de grossiereté qu'a mon arrivée...Voulais pas encore me prendre la honte...Et grâce au nuvet seau apporté par l'aubergiste, je fit ma toilette, et lavait mes frusques a grandes eaux. N'ayant plus que ma cape de sèche, je me drappais dedans, ne gardant que mon caleçon humide dessous. Puis j'etendis mes habits au soleil, et m'assis à côté poour terminer de me reveiller...Ainsi elle nous avais retrouvé...Pourquoi elle étaient plus avec nous déja???

Je surpris la scène en rentrant de mon tour en ville, ou j'était aller écouter quelque commérage, c'est fou ce qu'on peut apprendre en tendant l'oreille...j'en avait profité pour m'acheter quelque fruit et je rentra dans la converse en mangeant une pomme...puisque de toute façon elle aurait fini par me retrouver...je m'approcha d'elle et évitant l'odeur nauséabonde de mon compagnon, surpris qu'il connaisse l'existence du savon et de l'hygiene...

Tu en à mit du temps a venir, et tu semble d'humeur désagréable...(même si son geste était comprénsible) tu compte empécher tous le monde de se reposer???

Et avant qu'elle n'est le temps de répliquer je la coupe et lui annonce qu'on a du boulo...je lui explique la situation en espérant que les autres ne tarderont pas...

P.S Pierre fait les jet de dé pour moi tu t'en sortir mieu je fais sa a ins merci!!!!

Bien que la nouvelle que les gars n'avaient pas seulement passé leur soirée à se saouler fut plus ou moins rassurante pour moi (avoir des compagnon de combat portés sur l'alcool c'est pas super), l'idée de devoir escorter (même si cela est très bien rémunéré et entre tout à fait dans mes compétences) un convoi de nain était loin de me réjouir.

*Bof, après tout c'est un contrat comme un autre, le montant de la prime m'aidera à supporter la présence de ces créatures*

Quand à répondre à mon compagnon de la raison de mon retard et de mon humeur, j'ajouta simplement (enfin simplement agressive) :

"Si je suis en retard c'est que j'ai du me rendre à un avant post elfique non loin d'ici pour obtenir quelques renseignements qui ne te regardent absolument pas. Maintenant de quel humeur serais-tu si, comme moi, tu aurais fait la route de nuit, croisé trois stupides bandits de pacotilles qui avaient tenté, à leur plus grand malheur de te détrousser mais n'avaient réussi qu'à te faire perdre un temps précieux, pour arriver ici et retrouver un soulard qui feint l'ignorance et les autres endormis dans de bons lits acceuillants. Serais-tu de meilleure humeur que moi, permets moi d'en douter..."

Cette idée exprimée et n'attendant pas de réponse, je lui demande s'il veut se joindre à moi pour réveiller nos deux derniers compagnons encore endormis. Finalement je me dirige discrètement vers la table de notre ami spadassin ronflant à réveiller un sourd (et c'est peu dire) afin de mettre fin à se vacarme d'une douceur qui m'est propre...

*De mauvaise humeure, moi, c'est mal me connaître...*

C'est sur ce point que notre compagnon décida d'étalé sa gaité matinal, en descendant les escaliers lançant un: " Bien le bonjour compagnon" rayonnant et assourdissant, digne de réveillé un spadassin endormi... Voyant avec plaisir que l' elfe était de mauvaise humeur ( ca fait toujours plaisir un elfe de mauvais poil ) et forcément pas décidé a la ménager, il s'approche d'elle et lui déclare:
"-Alors c'est a cette heure-ci qu'on arrive ? je suppose que tu queuilliais des fleures en route non ?"
Usant comme a son habitude de son humour plus que douteux. Il était d'humeur joueuse et par cela ne voulait surtout pas "caressé l'elfe dans le sens du poil" si on peut dire, encore plus si celle-ci là mauvais...Il s'approche de la table et se saisis d'un morceau de pain qui traine, et tout en machant la mie molle. Il s'adresse au barman:

-" alors barman, combiens de rat aujourd'huis, permettez que j'aille voir ?"

Le barman se claqua la main sur le front d'un air désépéré!!
Une fois arrivé dans la cave, Priam relevat ses pièges et constatat que seul l'un d'entre eux avait marché ( un rat de plus à accroché sur sa perche). Quant au chien, il se mis à reniflé puis à grogner, il sentait la présence de quelques rongeur. Soudain il se mis à courir, en observant bien Priam remarquat que c'était aprés un rongeur. Aprés une poursuite éffréné, le chien fini par ratrapper le rat et le réduit en bouiilie. Tous fière de son exploit il raportat sa prise (ou se qu'il en restait) à son maître et il se remit à reniflé. Ses grognement traduisait la présence d'autres rongeur mais cette fois le petit chien s'assit et remuat la queue frénétiquement en regardant son maître dans l'espoir de recevoir une récompense!!

Arcanan (Oui je n'avais pas de nom alors en voila un...) Je souris en l'entendant, et sans rien répondre je me décide à la suivre...
Je me suis souvent remémorer comment on avait fini par se rencontrer, sa n'a probablement pas d'importance aujourd'hui mais on avance en groupe; chacun ses raisons, ses motivations, on a encore plein de différent et à l'image du ratier avec l'elfe quelle bordel!!!! Mais sa met l'ambiance et on accomplie plus de chose qu'on ne pourrai seul, c'est sa l'aventure... Et les délicieux réveil matinal!!!!!

Bon dès que tout le monde sera d'attaque, on se mettra d'accord sur les action de la journée... peut êtres que quelque infos supplémentaire pourrai ère utile...Mais je ne suis pas d'humeur à traquer le chasseur de poule, un plan, voir une carte du chemin à parcourir pour la quête du nain me serai plus utile

L'arrivée de notre cher compagnon le ratier venait de faire échouer mon plan pour me défouler. Non seulement il s'était réveillé seul mais il venait d'épargner le spadassin, par son bonjour, d'un réveil on ne peut plus brutal (je comptait lui retirer la chaise de sous sa personne pour qu'il s'étale par terre, ce qui aurait été très divertissant).

*M'arrêter en route pour cueillir des fleurs... Mais je vais te me le...*

Alors que je m'apprétais à corriger cet insolent, je le vit s'éloigner en compagnie du barman vers la cave.

"PIRAM, reviens ici que je t'en colle une... Tu vas voir si je cueillais des fleurs..."

Voyant que cela ne servait à rien de m'égosiller, j'entreprit de me calmer. Après tout, il ne perdait rien pour attendre. Je suis une elfe très rancunière. N'ayant plus rien à faire ici, je comptait bien me rendre en ville pour me procurer une monture. Le voyage à pied vers cette maudite ville humaine m'avait convaincu de m'en équiper. Et puis peut-être parviendrais-je à obtenir des renseignements sur cet orque noir dont on peut entendre parler dans la région. Je comptais sortir de mon côté mais mon compagnon chasseur de prime me fit comprendre de rester pour attendre les autres.

*S'il le faut vraiment...*

Je prit donc une chaise à côté de ce cher spadassin pour attendre "patiement" le reste du groupe où Ulrich, mon fidèle félin, vint rapidement me rejoindre.

Araknos, durant ton footing, tu croise deux gardes de la ville qui commencent à se foutrent de ta gueule parce que tu te ballade à moitié à poil!! Mais quand tu arrive à leur hauteur ils se calme constatant ta masse musculaire. Par contre dès l'instant ou ils voient ton dos, ils éclatent de rire: certe tes muscles son puissants mes ta peau c'est pas de l'acier donc le frottement de ta hache y laisse d'énorme trace rouge!!

Drago, pendant que tu essaye de te réveiller, un petit gamin se glisse dans ton dos est décroche tes vêtements. Au moment ou il s'en vat, tu remarque ca présence et tu te relève.Hélas pour toi le mioche n'était pas seul, un de ses camarade surgit de nul part et tir violement sur ta cape avant de prendre ses jambe à son coup dans la direction opposé du premier. Tu te retrouve donc en calçon (toujours humide donc qui se colle à ta peau) à contempler deux sales gamins ce tirant avec tes modeste vêtements.

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 21/10/2006

Comme tu as pu le remarqué pierre j'ai changé de carrière pour mercenaire comme la précedente ne correspondait pas.
Je courrais deja depuis 20 minuttes, finalement oter ma chemise n'était pas une si bonne idée, je sentais ma peau battu par le cuir de la lanière portant ma hache, cela me donnait envie de m'en saisir, mais courrir torse nu, une hache à la main de bon matin ne me sembla pas des plus prudents. Arrivé a la caserne je remis ma chemise et me renseigna sur les différents petit job à accomplir, puis lorsque j'eu recueilli ces informations, je reparti (cette fois en marchant) vers l'auberge. En y arrivant j'appris qu'on nous avait trouvé un job je pestais intérieurement de m'être levée si tôt, j'aurais pu évité cette course matinal.
Après avoir pris des informations sur ce travail je m'assis dans le fond de la taverne. Tout en m'appliquant à bien aiguisé ma hache ma hache, je me perdais dans mes pensées. Ce job était parfait, depuis que mon frère ainée avait était reduit en miette par une horde d'orcs je nourissais une haine féroce envers cette races, ce travail c'était plus que de l'argent, c'été une question d'honneur. Les souvenirs de mon frère m'embrumé l'esprit, et mon envie de massacrer de l'orcs montait petit à petit :"vous allez souffrir, je vous le garanti", murmurais-je à voix basse, comme pour me persuadé de la chose."

Tout en restant assis dans le fond de la taverne j'attend que tout mes coequipier soit présent et lorsque c'est les cas je les exhorte à aller réalisé notre mission au plus vite.

Je poussa la porte ac difficulté puis je me diriga vers le tavernier pr procéder à qq proposition de travail, voyant mon ami Araknos je bifurqua et alla serrer la pince à mon vieux compagnon de guerre et de beuverie.Notre échange fus trés succint car mon idéé d'argent facile me turlupinant l'esprit le décida d'aourner notre conversation pr faire qq profit.M'est avis que ce vieux Araknos va ns être d'une grde aide et puis je l'apprécie bien ce vieux bougre.
Hola tavernier!!!Il faut que je t'entretienne de qqch d'important.Allons ds un endroit un peu plus discret si tu ne veux pas affoler les clients ..[/
Oui cela me semble parfait je vais lui proposer de cuisiner pr lui en échange de qq piéce et s'il refuse je menace d'amener qq rats suplémentaires et en aviser les clients.

Test de commérage: 82/41 => échec critique.
Le tavernier ce penche lentement au dessus de son contoire, il baisse les yeux pour mieux te regarder et dit: "Euh petit, j'ai déja ce qu'il me faut en cuisine. De plus remenace moi encore une fois comme ca et toi et tes petit camarade vous irez vous chercher une autre taverne, c'est compris!!!" Puis il reprend son travail en te laissant là complètement dépité!

(Bon c'est pas tout ça mais après maintes mésaventures en tous genres, me voici chers compagnons.)

Encore embrumé par les vapeurs de l'alcool, notre cher spadassin met plusieurs minutes à se réveiller et à se rendre compte qu'après tout on dirait bien qu'il a dormi toute la nuit sur sa table.Décollant sa tête du bois de la table, essuyant les derniers reliefs de repas étalés sur ses vêtements, il tente de se remémorer la raison de ce réveil ma fois assez brutal :

*Ah mais c'est bien sur!! c'est mon ami le ratier(je connais un ratier moi?)qui m'a réveillé!!!halala quelle gentillesse je ne lui en demandais pas tant...Y VA VOIR SI JLE CHOPE Y VA PASSER UN SALE QUART D'HEURE LE BOUGRE*

s'extirpant de son siège avec mauvaise humeur, il avance en titubant et sent qu'une nausée le saisit alors qu'il fait ses premiers pas...ne pouvant se retenir davantage, il vomit son diner(et les quantités astronomiques d'alcool qu'il a avalées)sur les chaussures de la serveuse venue s'enquérir de son état.

"oops!!Vous m'en voyez déso...désoquoi déjà?HOUWA dur le matin, je tiens de moins en moins l'alcool moi...enfin bref, pardon."

» une partie pour bientot, karkaxatoooooooooo...